C'est rigolo comme les choses peuvent s'enchaîner et se faire écho : alors qu'un roman inspiré d'Orgueil et Préjugés vient de sortir chez Milady, "Les filles de Mr Darcy" (je vous en reparle très vite - livre lu, de bonnes choses, d'autres plus agaçantes), Arte propose un cycle Jane Austen durant le mois de juin !
Elizabeth Aston a consacré 7 romans aux personnages de Jane, on peut s'attendre à ce que la suite de cette "suite" nous parvienne dans les mois à venir.
- Au programme : La version 95 d'Orgueil et Préjugés avec Colin Firth dès jeudi prochain puis la rédifusion de Raisons et sentiments, version 08 . Suivront Le choix de Jane (Miss Austen regrets) et Orgueil et quipropos (Lost in Austen). Si j'ai déjà visionné les deux premiers, je serais ravie de découvrir les seconds et retrouver Jane sur nos petits écrans français
Vous pouvez retrouver ici, le joli dossier de presse .
- Pour compléter le tableau, le nouveau PD James, "La mort s'invite à Pemberley" paraît demain chez Fayard.
"Rien ne semble devoir troubler l’existence ordonnée et protégée de Pemberley, le domaine ancestral de la famille Darcy, dans le Derbyshire, ni perturber le bonheur conjugal de la maîtresse des lieux, Elizabeth Darcy. Elle est la mère de deux charmants bambins ; sa sœur préférée, Jane, et son mari, Bingley, habitent à moins de trente kilomètres de là ; et son père adulé, Mr Bennet, vient régulièrement en visite, attiré par l’imposante bibliothèque du château. Mais cette félicité se trouve soudain menacée lorsque, à la veille du bal d’automne, un drame contraint les Darcy à recevoir sous leur toit la jeune sœur d’Elizabeth et son mari, que leurs frasques passées ont rendu indésirables à Pemberley. Avec eux s’invitent la mort, la suspicion et la résurgence de rancunes anciennes.
Dans La mort s’invite à Pemberley, P.D. James associe sa longue passion pour l’œuvre de Jane Austen à son talent d’auteur de romans policiers pour imaginer une suite à Orgueil et Préjugés et camper avec brio une intrigue à suspense. Elle allie une grande fidélité aux personnages d’Austen au plus pur style de ses romans policiers, ne manquant pas, selon son habitude, d’aborder les problèmes de société – ici, ceux de l’Angleterre du début du XIXe siècle."