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  • 8 mars: Journée de la Femme

    Une date du calendrier pour rappeller encore l'importance des droits de la femme.

    Dans ces pays  lointains, où elle n'est rien, où elle est mariée si jeune, sans avoir accès à l'éducation, où elle est réduite à une forme de sous-condition en dépendant pour toujours d'un mâle, plus que dominant, qu'il s'agisse de son père, de son mari, d'un frère. Privées de contraception et de soins médicaux, du simple droit de disposer de son corps, violée, excisée, battue à mort, lapidée... Alors pensez bien, le droit de vote ...

    Dans nos pays occidentaux où elle plie sous les coups d'un compagnon violent qu'elle cache sous son maquillage, où elle ne demande que la simple reconnaissance du travail fourni (à travail égal, salaire égal, est ce trop demander ? ) , où les doubles journées sont trop souvent considérées comme normales, où les femmes au foyer n'ont pas de statut et se voient encore demander ce qu'elles font de leurs journées...

    Ce n'est pas une journée de célébration. Pas la peine de nous souhaiter "bonne fête".

    On peut douter d'une telle initiative (une journée spéciale de plus, qu'est ce que ça change après tout ? ), vous trouverez d'ailleurs des avis différents, d'une femme à un autre, comme sur les blogs de lili ou Mam'zelle Poupée aujourd'hui mais nous reconnaissons toutes qu'il n'est pas toujurs facile d'être une femme.

    Il y a celles de l'ombre, qui rendent la vie plus belle par de petits gestes, "s'oubliant" au profit des leurs, celles qui font avancer la société en participant à des associations, celles qui nous rendent fières d'être des femmes.

    Et puis, il y a les hommes. Ceux qui n'ont pas à réfléchir plus de 30 secondes pour répondre qu'il n'y existe pas de "catégories" mais des êtres humains. Des machos au grand coeur, prêt à défendre une femme dans la rue, le mec qui ne sait pas passer l'aspirateur, qui oublie les anniversaires mais qui nous aime. Tout n'est pas négatif.

    Quelques femmes d'action comme :

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    Ingrid Betancout
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    Simone Veil
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    Hilary Clinton
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    Anita Roddick, malheureusement décédée en septembre, fondatrice de la marque de cosmétiques "The Body shop" qui se base sur des principes simples d'estime de soi, de commerce équitable, de tests on réalisés sur les animaux et qui combat les violences faites aux femmes via son association.
    Quelques femmes de lettres ...
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    Louisa May Alcott, auteur des "Quatre filles du Dr March" qui m'a aidée à me construire en tant que femme...
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    Jodi Picoult, auteur notamment de "Ma vie pour la tienne"
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    Anna Galvada
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    J.K Rowling
    Quelques femmes "artistes" comme :
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    Madonna, ici avec ses enfants (et une jupe que j'adore)
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    Kylie Minogue, qui n'a pas hésité à parler de son cancer du sein (ici, une des premières photos avec ses cheveux courts d'après chimio)
    Et d'autres "inclassables" :
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    Amy Sherman Palladinon, créatrice de Gilmore Girls
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    Les filles de Sex & the city , qui ont permis , à mon avis, de libérer la parole des femmes sur leurs vies amoureuses....
    Et toutes celles anonymes, qui par leurs gestes, engagements, voix, méritent d'être encouragées.
  • Pou-pou-pi-dou !

    Note « beauté » pour retrouver un peu de légèreté, questionnaire emprunté à Lauren (qui porte un pseudo magnifique ;)) et qui tombe à point nommé…

    Sortant d’une forme d’hibernation due à l’hiver et ses longues journées grises où prendre soin de soi consiste à mettre des gros pulls et écharpes pour ne pas prendre froid, j’ai envie de crèmes (roses de préférence) à la texture douce et fraîche, de doux gommages qui font la peau douce, d’un bon mascara qui noircit mes cils et les allonge, de lèvres gourmandes , colorées de rose …
    Tous les ans, à la même époque, les symptômes réapparaissent. Les sens en éveil, le regard brillant, produits de beauté, pinceaux et autres poudres m’attirent !

    Maquillage à quel âge ?
    Que celle qui n’a jamais essayé le rouge à lèvres de sa maman me lance le premier poudrier !
    Comme toutes les petites filles, je regardais avec envie, les flacons et petites boites de fards mais c’est vers l’âge de 13 que j’ai commencé à découvrir la fée mascara pour les grandes occasions, de temps à autre, un peu de vernis rose sur les ongles et une touche de rouge à lèvre rose pâle. Vers 15 ans, comme une grande, j’achetais ma poudre translucide à Monoprix (moi aussi, décidément) et à 16, ce fut mon premier fond de teint Clinique, offert par ma mère et choisi avec soin chez Sephora. J’ai toujours privilégié les soins de la peau et une certaine forme de naturel, en comprenant très vite qu’il fallait cibler quelques bons produits.

     

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    Et depuis, c'est tous les jours ?
    Etonnamment,  non ! Quand je repense à celle que j’étais, dans mon jeune temps et qui essayait tout ce qui était possible et imaginable* écrase une larme au coin de l’œil*, je me surprends moi-même !
    Le mode de vie y est pour beaucoup, je pense puisqu’étant non seulement, très souvent fatiguée et à la maison, je ne ressens pas toujours le besoin d’appliquer une couche de mascara.
    Le maquillage reste tout de même, un plaisir. Me faire un joli teint et donc faire disparaître mes cernes,  allonger mes cils et poser une touche de rose sur mes lèvres est un remède à la déprime.
    Tout à coup, le monde est plus beau. C’est certainement une question de confiance en soi. J’aime me mettre en valeur, encore une fois, d’une façon assez naturelle parce que je ne me sens pas à l’aise avec un maquillage plus soutenu, même s’il  me fascine. Un bon fond de teint donc,  mascara noir, gloss ou rouge à lèvre rose, peu importe les marques de ces derniers, tout dépend de mon budget. J’aime autant Gemey et Bourjois que Dior et Lancôme.
    De jolies mains, c’est important aussi. Même un vernis transparent peut faire l’affaire.


    J'ai toujours dans mon sac :
    Une trousse de secours qui contient médicaments de secours et miroir rond pour les retouches, un baume pour les lèvres Body Shop, des papiers matifiants magiques de la même enseigne, des Kleenex bien sur, un anti –cerne et si je suis sortie maquillée, mon rouge à lèvres du jour pour pouvoir en remettre si besoin.

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    Et sur ma table de nuit :
    Un luxe : la crème  rêve de miel pour les mains de Nuxe qui sent divinement bon, qui ne colle pas (très important)  que j’applique le soir avant de m’endormir, de façon régulière.

    Budget beauté par mois :
    Très variable (faut il ou non renouveler ma crème de jour ? Prendre en compte seulement le make-up ? ) . Je peux craquer sur un coup de tête sur un produit mais je préfère les soins en parapharmacie ou pharmacie. Vichy, La roche Posay, Nuxe  pour ce qui est « soins », Gemey, Bourjois (avec un « j » comme joie ») ou encore l’Oréal pour le maquillage.

    Un produit fétiche : Pas vraiment de marques, je suis assez volage, Il suffit d'un détour dans un magasin pour Sephora pour me faire tourner la tête:

    • Un bon anticernes/ correcteur. Celui de Bourjois en ce moment, présenté dans un tube de rouge à lèvres, à la texture à la fois légère et poudrée, juste comme il faut.
    • Un mascara noir. Je suis à la recherche du mascara parfait, toutes les idées sont les bienvenues, c’est le produit pour lequel, je suis prête à m’acheter une grande marque si je suis sure du résultat.  Encore une fois, j’aime ceux de chez Gemey pour le noir très prononcé alors que j’ai renoncé à essayer les diaboliques préparations de L’Oréal qui me font tomber les cils au démaquillage …Avouez que c’est bête quand même !
    • La « bonne teinte » de rouge à lèvres. Pas de rouge sur moi, plutôt un rose, pas trop pâle ni trop soutenu. Entre fraise et framboise.

     

    Au saut du lit :
    Un rapide coup d’œil dans la glace, je commence par me coiffer, quitte à rassembler mes cheveux en chignon à l’aide d’une grosse pince, il s’agit d’y voir clair. Je me souris aussi dans le miroir parce que je le vaux bien. Efficace et stimulant, même avec un bouton sur le nez. Se sentir bien, se plaire est important.
     

    Et avant de me coucher :
    Idéalement, le démaquillage est l’étape à ne jamais sauter même si l’on ne se maquille pas …
    Alors, il me faut un produit qui ne demande que quelques minutes comme la solution micellaire de Bioderma, à appliquer sur la peau jusqu’à ce que le coton soit propre. Sans rinçage.
    Pour mes yeux sensibles, un démaquillant doux comme celui de Vichy ou encore Klorane au bleuet. Toujours si je suis maquillée, par contre. Je suis sérieuse et déteste les trainées de maquillage sur l’oreiller ou les joues, beurk !


    Une super astuce beauté :

    Respecter quelques principes simples comme un teint "zéro défaut", choisir de mettre en valeur les yeux ou les lèvres, pas les deux.
    Un essai à l'avance d'un nouveau produit pour le jour J et non le matin même, on n'est pas à l'abri d'une réaction ou d'un dérapage.

    Un beauty faux pas :
    Les essais de fard à paupières. Le trait de crayon trop appuyé aussi. L’eye-liner hésitant que l’on a repris dix fois… Que dieu me pardonne mes erreurs de jeunesse !
     

    Un truc qu'il faut faire et que je ne fais pas :
    En théorie, l’exfoliant visage ou corps, c’est toutes les semaines... 
    La crème raffermissante pour le corps, le lait hydratant, c’est quotidien, voire deux fois par jour…
     

    Ce que j'aimerais qu'on m'offre à part des diamants :
    Les diamants n’étant pas pour cette année encore, je pense à cette "crème Nirvanesque premières rides" de chez Nuxe ainsi que l’eau micellaire aux trois roses. De toute façon, je pense les acheter avant la fin du mois, niark, niark …1105391317.jpg

     

    Sinon, un chèque assez conséquent pour que je puisse essayer de nouveau produits comme le maquillage minéral par exemple. Signez juste, je m’occupe du montant et de l’ordre...

    Amies bloggeuses, si le coeur vous en dit , je serais heureuse de partager ce questionnaire avec vous ;)....

  • Plus que jamais, soutenons Ingrid Betancourt

    Jamais, je ne dirais qu’il faut s’intéresser plus à une « cause » qu’une autre, chacun est libre et sensible à ce le touche selon son vécu, son ressenti mais l’envie de transmettre ce message est trop forte.
    Je suis certainement maladroite, je cherche depuis quelques jours les mots pour en parler. Il y a eu des avancées, Clara est libre (depuis ma dernière note)  d’autres otages aussi (toujours trop nombreux) et alors que sa libération était envisagée, nous apprenions aujourd’hui que l’intervention militaire de ce week end (qui a causé la mort du numéro deux des FARC)  a tout compromis…

    Il y a Urgence.

    Pour Ingrid. Pour les 4000 autres otages retenus dans la jungle colombienne par les FARC. Pire qu’un assasinat, c’est une lente agonie qu’ils vivent là-bas. Ils meurent chaque jour, un peu plus…

    Privés du droit le plus élémentaire, celui d’être libre ! Je ne m’imagine pas survivre longtemps à ces privations. Cela me semble tellement inconcevable de ne pouvoir se déplacer comme on l’entend, ne pas pouvoir voir ses proches, les serrer dans ses bras, rester si loin d’eux, sans nouvelles pendant des années parfois … Dans nos sociétés occidentales où les droits individuels prennent tant de place, où la notion même de liberté est chérie et évidente,  comment comprendre et accepter   ? 
    Loin de tout, les otages attendent la fin du cauchemar. Il est difficile dans les contritions de garder espoir quand la vie n’est plus que frustration et refus, quand le moindre désir est réduit à néant par ce « non » devenu si familier.

    Je vous encourage à lire ce petit livre « Lettres à maman, par delà l’enfer » dans lequel vous retrouverez l’intégralité de la lettre d’Ingrid mais aussi la réponse faite par ses enfants.

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    La lecture de ce témoignage peut sembler gênante dans un premier temps, dans la mesure où il s’agit d’une lettre adressée aux proches d’Ingrid : j’avoue m’être sentie mal à l’aise de lire ces lignes, au début mais au fil des mots, on comprend très vite que le message est plus grand, que la souffrance est universelle. Les mots d’amour seraient sans doute les mêmes s’ils s’adressaient à une autre famille, à une autre maman notamment. Le cœur se déchire à mesure de la lecture, il bat au rythme de celui d’Ingrid et des autres.

    Lisez la lettre d’Ingrid. 
    Lisez aussi celle de ces enfants.

    Les soutenir, c’est tout ce que nous pouvons faire, malheureusement. Le sentiment d’impuissance est immense mais ne pas relâcher la pression, faire entendre nos voix est important.

  • Un peu de tendresse : Futur Papa, le retour !

    Après un dimanche printanier très agréable, passé en famille autour de ma grand-mère (un bouquet de jonquilles, une raclette et la vie est plus chouette !), il est bien difficile d’ouvrir ses volets et de constater qu’il fait gris (Il est mort le soleiiiilllll), décidément, les lundis matins ne font rien pour être aimés …

    Heureusement que la toile réserve de bonnes surprises ! Devinez qui j’ai retrouvé au hasard de mes clics ? Heureusement que la toile réserve de bonnes surprises ! Devinez qui j’ai retrouvé au hasard de mes clics ?

    Futur Papa ! Version 2.0, le comeback du retour !

    J’en vois quelques uns, dans le fond, contre le radiateur,  se demander « futurpapaqquoi? » une petite explication s’impose donc.

    Il était une fois, un homme qui, lorsqu’il apprit la grossesse de sa femme, ne prit pas ses jambes  spn cou fut ému et heureux de l’arrivée d’un bébé à la maison. Bouleversé mais attentif à plein de petits détails de ce nouveau quotidien à presque trois, il s’est mis, non seulement à  conter ses aventures sur son pc et a décidé de créer un blog, pour  se motiver à continuer dans un premier temps.

    Il faut savoir que Futur Papa est un peu l’homme dont nous rêvons toutes, il peut être parfois un peu maladroit mais il garde un œil plein de tendresse sur celle qui partage sa vie, ses textes sont à la fois drôles, émouvants, attachants  …
    Comme tant d’autres lecteurs assidus de son premier blog, j’eus la chance de suivre presque en direct toutes les étapes de ces 9 mois et c’est avec plaisir que j’appris qu’il allait être édité !

    Son livre est toujours disponible dans les bonnes librairies, je le conseille vraiment ! Même si vous n’êtes pas un futur papa. Ni une future maman. Vous sourirez forcément. Vous rirez aussi. Verserez peut être une petite larme à la naissance de bébé. Apprendrez des choses aussi. Passerez un bon moment, de toute façon.

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    Mais là, vous allez me dire « bébé est là, il n’est plus Futur Papa, il a perdu le titre quoi… Pff, même pas drôle... »

    Figurez-vous qu’un petit être s’agite de nouveau et donne des petits coups de pied dans le ventre rond de Future Maman ! Et toc !
    Du coup, Futur Papa a repris la cape et la plume ici  et poursuit son blog. Dans la vie, il s’occupe aussi de Mademoizelle et a une tête sympa.