En ce moment, pour deux livres de poche achetés, un sac en toile est offert ;).
Parmi mes rituels de l'été, figure toujours un roman de Mary Higgins Clark. Même si l'américaine suit un shéma bien précis et l'épplique de roman en roman, je glisse toujours un de ces poches dans mes lectures de l'été, depuis mon adolescence.
"Je t'ai donné mon coeur" nous propose de suivre le procès de Gregg Aldrich, principal suspect dans le meurtre de sa femme, la célèbre actrice Natalie Raines. C'est Emily Wallace, substitut du procureur à New York, qui est chargée d'instruire l'enquête. Alors que les preuves semblent accuser Gregg, le doute s'immise dans les esprits. D'autre part, si les médias s'intéressant beaucoup à l'accusé, ils pourraient aussi découvrir qu'Emily a subi une transplantation cardiaque. La jeune femme est-elle prête à assumer cette nouvelle célébrité ?
Le thriller est classique, les évènements sont liés et l'étau se resserre autour du suspect avant que les faits ne soient remis et cause et le doute suffisamment importa. Ce qui est intéressant à découvrir dans ce roman et qui lui donne d'ailleurs un peu de plus de rythme, c'est la couverture médiatique du procès. Les audiences sont filmées et chaque soir, des experts interviennent à la télévision, dans un programme spécialisé pour en débattre. Le spectateur se retrouve même inivité à voter pour exprimer son opinion : la justice américaine est pleine de surprises !
A côté de l'intrigue en elle-même, Emily va devoir, sans le savoir, faire face à un danger proche.
Rien d'extraordinaire dans ce nouvel opus, Mary Higgins Clark se repose un peu sur ses acquis et nous livre un roman qui produit l'effet attendu et permet de passer un agréable moment. Mais si vous souhaitez découvrir un vrai bon livre de cet auteur, je vous recommande la lecture de "La nuit du renard", l'un des premiers succès de Mary Higgins Clark, qui a le mérte d'être extrêmement bien construit et haletant ! A (re) découvrir sans tarder !
Je t'ai donné mon coeur, de Mary Higgins Clark, au livre de poche.