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Tout lecteur est curieux. Dans le bon sens. Assez curieux pour avoir envie de découvrir ce qui se passe dans les pages de livres, curieux du devenir des personnages. Curieux de l'histoire de l'auteur, de son travail, du pourquoi et comment.
Marie-Aude Murail retrace l'itinéraire qui l'a conduite devant la feuille blanche, de ses rêves d'enfant aux premières expériences souvent inattendues avec l'éditeur et les jeunes lecteurs... Faut-il commencer à écrire toute petite pour savoir faire quand on sera grande ? Comment devient-on écrivain ? Et pourquoi jeunesse ? Et comment le reste-t-on sans se répéter ? Marie-Aude Murail nous parle de création, de doutes et de convictions, d'écriture et de lecture.
Avec ce livre décidément trop court (c'est comme une boite de biscuits, il n'y en a jamais assez) , Marie-Aude Murail nous propose de plonger dans son histoire. Son expérience de lectrice (Dickens, Agatha Christie) et d'auteur (à ses débuts, elle a écrit des intrigues à l'eau de rose pour Nous Deux) , sa relation avec ses lecteurs, ceux qui aiment lire et ceux qui ne comprennent pas ce la littérature peut leur apporter. Le dynanisme de la romancière est communicatif, on suit avec plaisir ses questionnements, son parcours avec le monde de l'édition tout en savourant les bons mots et nombreuses anecdoctes.
L'ensemble plaira aux fans déjà conquis comme aux nouveaux. Attention, un effet secondaire important est lié à cette lecture: vous aurez forcément envie de découvrir l'abondante bibliographie de MAM !
"Il faut croire que ça crève les yeux, cette maturité des enfants. Comme les jeunes gens ne semblent, eux, pas préssés de devenir adultes, le roman pour adolescents dont je mettais en doute l'existence me paraît en définitive promis à un brillant avenir. C'est là aussi un constat de terrain. Dans les salons du livre, je dédicace de plus en plus souvent mes romans à des étudiants qui me lisent depuis l'enfance, à de jeunes mamans qui rachètent pour le bébé le livre qu'elles ont tant aimé à l'adolesence, à des familles entières que la littérature jeunesse a soudées. Le roman pour adolescents qui a longtemps fait figure de parent pauvre dans la production éditoriale est-il en train de devenir le digne héritier de la littérature populaire, cette littérature dont l'ambition est de faire rire et pleurer tous ceux qui aiment les histoires ? "
Marie Aude Murail, Auteur Jeunesse, comment le suis-je devenue, pourquoi le suis-je restée ? Editions du Sorbier.
Ce tag des 7 blogs/7 révélations tourne depuis un moment, sur la toile. Je ne raffole pas du principe, en mettant en avant quelques blogs, j'ai toujours le sentiment d'en laisser d'autres en route mais il faut reconnaître que j'ai été touchée d'y figurer chez Lizzie et Rory ...
On n'a forcément l'occasion de dire aux autres bloggueuses combien on aime les lire alors les filles, j'ai envie de vous dire un énorme merci Parce qu'il m'est toujours très agréable de découvrir une nouvelle note, que j'attends avec impatience ce petit rayon de soleil dans mon quoditien. Les différents conseils de lectures, musiques, activités sont précieux et entraînants. Décidément, quelle belle invention cette blogosphère !
Et les autres !
Quand aux révélations, elles ne sont pas très croustillantes.
Heureusement, ma grande-tante vient passer une semaine à la maison. Et puis, le premier dimanche de l'avent arrive, je dois préparer ma couronne pour les 4 bougies, j'ai trouvé un support en fer, ça va changer un peu du truc traditionnel (plus d'explications ici). Ou comment réinventer les traditions pour patienter avant Noël ... Une petite photo, c'est promis.
Bon week-end !
Mes mardis sont aussi intéressants que ... stressants ! Je savoure le moment où je passe (enfin) la porte d'entrée, vers 19h30. La pression retombe, j'envoie valser mes mocassins et mon sac, je vais me servir un grand verre de coca .
Le mardi, je me fais belle. Soigne mon maquillage, me pschitt-pschitt de sent-bon ( plus d'eau Miss Dior Chérie mais un flacon d'orange de l'occitane, je sens ... Noël !), vérifie dix foix mon sac, pense aux petits bonbons menthe. Me réconforte autant que possible. Cette semaine, j'ai opté pour une jolie manucure d'un beau rouge assorti à des petites boucles d'oreilles qui ont un charme fou malgré leur trois francs six sous.
Et une petite chanson qui trotte dans la tête : Faut-il, faut-il pas ? , le nouveau single de Nolwenn Leroy. La première écoute m'a surprise. Moins percutant que Nolwenn Ohwo mais il faut reconnaître que la mélodie se retient fichtrement bien ...
"Le pire des fléaux, je suis un caaaaas ..."
Son album sort le 7 décembre et je serai au rendez-vous. J'adore sa voix. Son côté grande fille toute simple. Teïtur a participé à ce "Cheshire cat et moi", j'ai hâte de découvrir le résultat.