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  • Si c'était à refaire de Marc Levy (Robert Laffont)

    Commençons cette semaine avec l'un des cadeaux d'anniversaire...


    Andrew Stilman, grand reporter au New York Times, vient de se marier.
    Le 9 juillet 2012 au matin, il court le long de l’Hudson River quand il est soudainement agressé. Une douleur fulgurante lui transperce le dos, il s’effondre dans une mare de sang.
    Andrew reprend connaissance le 9 mai 2012… Deux mois plus tôt, deux mois avant son mariage.
    À compter de cette minute, il a soixante jours pour découvrir son assassin, soixante jours pour déjouer le destin.
    De New York à Buenos Aires, il est précipité dans un engrenage vertigineux. Une course contre la montre, entre suspense et passion, jusqu’au dénouement… à couper le souffle.

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    Ce n'est pas la couverture qui donne envie de lire ce roman ...



    Le résumé ne ment pas, Andrew est un personnage que l'on va aimer suivre, avec qui on va partager les interrogations et doutes face à cette situation peu commune. Le temps presse et si l'histoire d'amour passe au second plan, il est passionnant de suivre l'enquête d'Andrew , en Argentine, sur les "disparitions forcées " d'oppposants politiques et de leurs familles, enlevées et torturés puis jetés vivants à la mer sans que les meurtres soient reconnus et encore moins, jugés. Les mères de la place de Mai continuant de se battre en réclamant la vérité sur ces assassinats, la reconnaissance des faits et cherchent inlassablement des traces de leurs enfants disparus. Envoyé par sa rédactrice en chef, Andrew va partir enquêter alors qu'il est sur les traces de son propre meurtrier.

    Si Andrew ne désire pas se confier à sa future femme, il se tourne vers un inspecteur à la retraite (le reconnaîtrez-vous ? Il apparaît dans un roman précedent et donne, des nouvelles de personnages , j'adore ce genre de clin d'oeil ) , qui décide de l'aider alors que la version du journaliste sur sa "mort" est plus qu'étrange. Sitlman trouvera aussi un soutien très fort auprès de Simon, son meilleur ami, fidèle par les fidèles qui usera de stratagèmes et diverses ruses pour pister le prétendu suspect. Bien entendu, cette amitié est l'un des points forts du roman, qui ajoute de l'humour à une intrigue moins légère, que dans d'autres romans de l'auteur.

    En effet, choisir de mettre en lumière les tragiques évènements argentins au lieu de priviliègier la romance peut étonner le lecteur . Pour ma part, J'ai particulièrement aimé cette partie, le travail de journaliste d'Andrew prenant alors tout son sens et renforçant ma sympathie pour ce personnage fort , malgré ses maladresses et erreurs.

    Marc Levy étant un très bon conteur, ce treizième roman est un bon cru, qui, en plus de divertir, soulève cette question absolue : si vous pouviez revenir en arrière, changeriez-vous le cours des choses ?

     

    Si c'était à refaire, de Marc Levy, chez Robert Laffont.

  • Sur la toile #1

    Qui dit fin de semaine, dit temps libre pour se reposer ou buller devant son ordinateur ...

    Je vous laisse donc en compagnie de quelques petites choses dénichées, ici ou là, sur la toile et qui, je l'espère, égayeront votre quotidien.

     

    • Si vous aimez le masking-tape (vous savez ce scotch coloré qui permet de faire mille choses, en déco), le Japon et les jolies choses, le blog d' Hello Sandwich est fait pour vous. Je perds toute crédilité en regardant ses photos, en couinant des hiiiiiii et ahhhhhhh !
    • Besoin de noter vos brillantes idées, là tout de suite ? Imprimez la fiche " Brainstorm" de l'américaine April Starr : ici
    • Sur Do you doux, retrouvez un univers doux comme un Chavroux qui sponsorise le blog et a fait intervenir des blogueuses reconnues comme Anne-So, Griottes, Vert Cerise et La vie en rose qui nous livrent des conseils déco, des recettes simples mais savoureuses, des billets d'humeur ...
    • Une idée de goûter simple et amusante chez RosaRot : les photos suffisent à comprendre la marche à suivre . Je ne sais pas ce que vous pensez mais j'ai très envie de préparer ces pommes, moi ! 

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    Bon wwekend et rendez-vous la semaine prochaine pour de nouvelles chroniques de lectures ...

  • Sunday #4

    Il y a quelque chose d'étrange en cette journée d'élections : sans être une passionnée de politique, je ressens toujours une certaine impatience à attendre et connaître enfin les résultats.

    Ma mère et ma grand-mère prennent toujours le temps de bien s'habiller pour aller voter et j'ai gardé cette habitude. Cela doit dater de l'enfance de mère-grand, quand on mettait les habits du dimanche pour aller à la messe. Depuis toujours, j'aime écouter les anecdotes de l'époque, la vie de cette arrière-grand-mère forte et courageuse, des jeux d'enfants, des tenues à la mode et cet épisode où mamie en short, sur un vélo, se voyait critiquée par les dames bien pensantes du village. Quelle histoire !

    Et cette maudite élection, c'est aussi se rendre compte combien sa santé s'est dégradée au fil de ses cinq années ...

    Mais comme le dirait Lady Violet dans Downton Abbey

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    Série que ma grand-mère a découvert sur TMC, en décembre et dont elle attend la suite avec impatience . Evidemment, elle adore Violet ...

     

  • Top Ten Tuesday {24} : ces livres en grand format que j'aimerais lire ...

     

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    Cette semaine, j'ai eu envie de reprendre un Top Ten Tuesday, délaissés depuis des mois mais n'étant pas inspirée par le thème américain de la semaine ( à lire sur The broke and the bookish), j'ai décidé de faire la liste de ces romans, sortis en grand format , principalement des nouveautés qui me font de l'oeil et que je ne peux malheureusement pas acheter pour le moment.

     

     

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    Tess croyait avoir trouvé le mari idéal en la personne de Jim Beckett, un policier jouissant d'une excellente réputation dans la petite ville de Williamstown, Massachusetts.
    Mais deux ans après le mariage, elle découvre l'horreur : son époux a assassiné, dans des circonstances effroyables, plusieurs femmes. Tess n'a d'autre choix que de le dénoncer à la justice.
    En attendant d'être jugé, Jim est placé dans un quartier de haute sécurité. Le jour où, tuant deux gardiens, il parvient à s'évader, il n'a plus qu'une idée en tête : retrouver celle qui l'a trahi.
    Et lui rappeler qu'ils sont unis, quoi qu'il arrive, jusqu'à ce que la mort les sépare...

    Edit mea culpa : Le roman de Lisa Gardner est disponible en format poche, j'ai eu la chance de le trouver, hier après-midi. On va dire qu'il faut une exception :p ...

     

     

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    À Edgecombe St. Mary, en plein coeur de la campagne anglaise, une tasse de thé délicatement infusé est un rituel auquel, à l’heure dite, le major Ernest Pettigrew ne saurait déroger pas plus qu’à son sens du devoir et à son extrême courtoisie, aussi désuète que touchante, qui font de lui l’archétype même du gentleman anglais : raffiné, sarcastique et irréprochable. Dans ce petit village pittoresque où les cottages le disputent aux clématites, le major a depuis trop longtemps délaissé son jardin. Désormais veuf, il a pour seule compagnie ses livres, ses chers Kipling, et quelques amis du club de golf fuyant leurs dames patronnesses. Ce n’est guère son fils, Roger, un jeune londonien ambitieux, qui pourrait le combler de tendresse. Mais, le jour où le major apprend le décès de son frère Bertie, la présence douce et gracieuse de Mme Ali, veuve elle aussi, va réveiller son coeur engourdi. Tout devrait les séparer, elle, la petite commerçante d’origine pakistanaise, et lui, le major anglais élevé dans le plus pur esprit britannique. Pourtant leur passion pour la littérature et la douleur partagée du deuil sauront les réunir. Ils vont, dès lors, être confrontés aux préjugés mesquins des villageois, où le racisme ordinaire sévit tout autant dans les soirées privées, sur le parcours de golf, à la chasse, sur les bancs de messe que dans les douillets intérieurs. Et les obstacles seront pour eux d’autant plus nombreux que leurs familles s’en mêlent : Roger s’installe dans un cottage voisin avec Sandy, sa petite amie américaine, et le neveu de Mme Ali, musulman très strict rentré du Pakistan, se découvre un enfant caché…
    C’est avec beaucoup de charme et d’intelligence que Helen Simonson s’empare du thème des traditions pour montrer combien elles peuvent être à la fois une valeur refuge et un danger. Il se dégage de son roman une atmosphère so british qui enchante. Reste une question : votre tasse de thé, vous le prendrez avec un nuage de lait ou une tranche de citron ?

     

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    On retrouve ici Antoine Duhamel le personnage du premier roman de l'auteur, Un coup à prendre. Il est désormais divorcé et père recomposé dans les bras de Laurence, mais peine toujours à se séparer d'Alice et ne se résout toujours pas à cesser d'hésiter entre deux femmes. comme entre regret et renoncement. Il va offrir à celle qui est finalement sa seule confidente, sa grand-mère Mouna, deux jours hors de la maison de retraite où elle a préféré finir ses jours. Un pèlerinage clandestin dans l'hôtel de leurs vacances passées, le temps d'une escapade sous le ciel bleu de la côte normande. Sous un parfait ciel bleu, c'est le face à face d'un homme de trente-sept ans qui a encore peur de vivre et d'une vieille dame qui a peur de mourir. Et c'est celle qui a pourtant tout connu du renoncement qui, au soir de sa vie, va lui donner le courage de choisir sa vie.

     

     

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    Chicago, octobre 1920. Sur un air de jazz de la Nouvelle-
    Orléans, la douce Hadley Richardson, tout juste arrivée du
    Missouri, rencontre un garçon de vingt ans, grand, svelte,
    cheveux noirs et yeux noisette. Avec à la joue droite, une
    irresistible fossette. Il s'appelle Ernest Hemingway et fascine
    l'assistance par ses récits sur la Grande Guerre dont il est
    rentré blessé… Hadley succombe aux yeux de braise du jeune
    homme. Elle a vingt-huit ans, elle ignore tout du jazz mais
    joue Rachmaninov avec passion… Après un mariage éclair,
    les Hemingway, follement amoureux, embarquent le 8
    décembre 1921 à bord du Leopoldina pour Paris la trépidante.
    Ils se retrouvent vite au coeur d'une "génération perdue"
    d'écrivains anglo-saxons expatriés où figurent déjà Gertrude
    Stein, Ezra Pound, James Joyce et Scott Fitzgerald… Rive
    gauche, entre l'alcool qui coule à flots et la cocaïne, la guerre
    des ego, les couples qui se font et se défont et la beauté des
    femmes, Ernest travaille à son premier roman : Le soleil se
    lève aussi, qui lui apportera consécration et argent. Mais à
    quel prix ? Hadley, la fille du Midwest, droite et fidèle à ses
    valeurs, saura-t-elle répondre aux exigences et aux excès de
    l'écrivain le plus important de sa génération ? Pourra-t-elle
    rester sa muse, sa complice, son épouse… surtout face à la
    belle Pauline Pfeiffer au corps de liane ?

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    Elles sont nées le même jour, dans le même hôpital, dans des familles on ne peut plus différentes. Ruth est une artiste, une romantique, avec une vie imaginative riche et passionnée. Dana est une scientifique, une réaliste, qui ne croit que ce qu’elle voit, entend ou touche. Et pourtant ces deux femmes si dissemblables se battent de la même manière pour exister dans un monde auquel elles ne se sentent pas vraiment appartenir. Situé dans le New Hampshire rural et raconté alternativement par Ruth et Dana, Les Filles de l’ouragan suit les itinéraires personnels de deux « sœurs de naissance », des années 1950 à aujourd’hui. Avec la virtuosité qu’on lui connaît, Joyce Maynard raconte les voies étranges où s’entrecroisent les vies de ces deux femmes, de l’enfance et l’adolescence à l’âge adulte - les premières amours, la découverte du sexe, le mariage et la maternité, la mort des parents, le divorce, la perte d’un foyer et celle d’un être aimé - et jusqu’au moment inéluctable où un secret longtemps enfoui se révèle et bouleverse leur existence. C’est un roman sur la culture des fraises et la conscription pour le Vietnam ; sur l’élevage des chèvres et les rêves vains de fortune vite gagnée ; sur l’amour de la terre et l’amour d’un père ; sur des individus qui, sans cesser de se chérir, peuvent soudain se blesser profondément. Les Filles de l’ouragan est surtout une histoire sur les liens qui constituent une famille, un foyer, sur la force dévastatrice de l’amour qui s’achève, et l’apaisement qu’apporte le pardon.

     

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    Jocelyne, dite Jo, rêvait d’être styliste à Paris. Elle est mercière à Arras. Elle aime les jolies silhouettes mais n’a pas tout à fait la taille mannequin. Elle aime les livres et écrit un blog de dentellières. Sa mère lui manque et toutes les six minutes son père, malade, oublie sa vie. Elle attendait le prince charmant et c’est Jocelyn, dit Jo, qui s’est présenté. Ils ont eu deux enfants, perdu un ange, et ce deuil a déréglé les choses entre eux. Jo (le mari) est devenu cruel et Jo (l’épouse) a courbé l’échine. Elle est restée. Son amour et sa patience ont eu raison de la méchanceté. Jusqu’au jour où, grâce aux voisines, les jolies jumelles de Coiff’Esthétique, 18.547.301€ lui tombent dessus. Ce jour-là, elle gagne beaucoup. Peut-être.

     

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    Un soir à Paris, Daniel Mercier, comptable, dîne en solitaire dans une brasserie, quand un illustre convive s'installe à la table voisine : François Mitterrand. Son repas achevé, le Président oublie son chapeau, que notre Français moyen décide de s'approprier en souvenir. Il ignore que son existence va en être bouleversée. Tel un talisman, ce célèbre feutre noir ne tarde pas à transformer le destin du petit employé au sein de son entreprise. Daniel aurait-il percé le mystère du pouvoir suprême ? Hélas, il perd à son tour le précieux objet qui poursuit sur d'autres têtes son voyage atypique au sein de la société française des années 1980. Cette fable pleine d'esprit et de malice possède comme le fameux chapeau un charme mystérieux - celui de ressusciter une époque et, surtout, de mettre au jour à travers une galerie de personnages notre rêve commun : voir s'accomplir par magie nos désirs les plus secrets.

     

    • Le tome 1 de la fameuse saga du moment, adapté au ciné ...

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    Peeta et Katniss sont tirés au sort pour participer aux Jeux de la Faim. La règle est simple : 24 candidats pour un seul survivant, le tout sous le feu des caméras ? Dans chaque district de Panem une société reconstruite sur les ruines des États-Unis deux adolescents sont choisis pour participer au Jeu de la Faim. La règle est simple : tuer ou se faire tuer. Celui qui remporte l épreuve, le dernier survivant, assure la prospérité à son district pendant un an. Katniss et Peeta sont les « élus » du district numéro douze. Les voilà catapultés dans un décor violent, semé de pièges, où la nourriture est rationnée et, en plus, ils doivent remporter les votes de ceux qui les observent derrière leur télé... Alors que les candidats tombent comme des mouches, que les alliances se font et se défont, Peeta déclare sa flamme pour Katniss à l antenne. La jeune fille avoue elle-aussi son amour. Calcul ? Idylle qui se conclura par la mort d un des amants ? Un suicide ? Tout est possible, et surtout tout est faussé au sein du Jeu de la Faim...

     

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    Letty Larkspur et Cordelia Gray fuient leur petite ville du Midwest pour la métropole scintillante de New York. Tout ce que Letty désire est de voir son nom en haut de l’affiche, mais elle comprend vite que Manhattan est rempli de jolies filles prêtes à tout pour devenir des vedettes... Cordelia, elle, est à la
    recherche d’un père qu’elle n'a jamais connu, un célèbre contrebandier. Du jour au lendemain, elle découvre un monde excitant mais ô combien dangereux. Heureusement, elles ont une alliée : Astrid Donal, qui semble tout avoir : l’argent, l’allure et l’amour de Charlie, le frère de Cordelia. Mais l’apparence parfaite d’Astrid cache un lourd secret… Bienvenue à New York en 1929 !

     

    • En avant-première, chez France Loisirs (et donc disponible dans toutes les librairies, dans quelques mois)  :

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    Source

    Depuis la mort de son petit garçon, Julia Evart est inconsolable. C’est à peine si sa fille de cinq ans parvient de temps en temps à lui arracher un sourire. Pour lui faire plaisir, Julia accepte néanmoins de jouer le jeu du "pain de l’amitié". Dans sa petite ville d’Avalon, elle vient justement de faire la connaissance de Madeline, veuve et propriétaire d’un salon de thé, et de Hannah, violoncelliste en plein divorce. Ces quelques grammes de pâtisserie leur apportent un réconfort inattendu, et c’est bientôt toute la ville qui se prend de passion pour cette recette ancestrale... Et si le "pain de l’amitié" cachait des vertus insoupçonnées ?

     

  • Sunday #4

    Ce week-end, ma famille s'est réunie pour fêter mon anniversaire (avec quelques semaines de retard) et si je pensais ne recevoir que des enveloppes  afin de m'offrir un nouvel appareil photo, j'ai eu la surprise de découvrir de jolis cadeaux !

    J'avais dressé une belle table dans les tons de jaunes et je regrette de ne pas avoir pensé à prendre des photos .Je remarque d'ailleurs que mon père n'a pensé qu'à prendre qu'un seul cliché ou j'apparais... C'est terrible comme nous manquons de photos dans cette famille ! Heureusement qu'il y a ma marraine pour avoir immortalisé mon enfance ! Je trouve ça dommage et plutôt triste, nous n'avons pas de photos de nous trois depuis des années ... Les cris de ma mère, à chaque appareil tourné dans sa direction, n'ont pas dû aider. Aucune femme de ma tribu, ne semble s'aimer sur papier et je pense, qu'au contraire, il est nécessaire de multiplier les clichés pour s'apprivoiser.

    J'hésite entre un apn hybride ou un reflex, vos avis sont les bienvenus !

    En attendant, la maison déjà rangée, j'ai le blues de l'après-fête ... Heureusement qu'il y avait Patrick Bruel chez Michel Drucker, dans Vivement Dimanche. J'ai hâte d'aller voir Le prénom, au cinéma.

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     La semaine dernière, j'ai enfin vu "Là-haut".  Plein de tendresse et poésie et quelques minutes, au début qui bouleversent comme peu de films, savent le faire...