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Books - Page 4

  • Mon été avec Daphné Du Maurier #1

    Après avoir dévoré l’excellente biographie Manderley for ever, de Tatiana de Rosnay, consacrée à Daphné du Maurier ( que je vous recommande comme LE livre de l’année tant la vie de l’auteure est passionnante et inattendue), j’ai eu envie de découvrir ces romans que je n’avais pas encore lus.

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    Comme j’ai la chance d’avoir une amie lectrice qui a eu la gentillesse de me prêter quelques exemplaires, j’ai commencé en juin la lecture de différents romans et passe un été avec Daphné, dévorant les livres, en puisant dans la bio les détails de leur rédaction.

    daphné du maurier,les oiseaux

     

    Au mois de juin, j'ai lu : 

                                                             

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    ¤ Les oiseaux (1952), dont la nouvelle du même nom inspira Alfred Hitchcock qui en fera la célèbre adaptation cinématographique, est un recueil très sombre, aussi mystérieux qu’angoissant qui explorent les recoins de l’âme humaine et qui frôle le fantastique. 

    Si Daphné a eu à subir, trop souvent,  cette image "romanesque", collée par son éditeur à la sortie de Rebecca, elle prouve ici qu’elle n’a pas peur d’aller plus loin dans la noirceur et chaque nouvelle est un bijou du genre. Le format court se prêtant particulièrement bien à un suspense qui enfle au fil de l’intrigue, la peur gagne le lecteur et l’ensemble est vraiment passionnant.

    J’ai particulièrement aimé Les oiseaux qui à partir d’un élément de notre vie de les jours, dresse le portrait d’une société quasi apocalyptique, rattrapée par cette nature qu’elle a si souvent maltraitée. Si l’intrigue se situe après la guerre, le texte n’a pas vieilli et conserve un caractère universel.

    Le pommier  est le récit subtil d’un homme récemment  veuf qui croit voir dans un arbre de son jardin, l’ombre de son épouse décédée …

    Le Vieux est à la lire absolument pour en saisir pleinement l’astucieuse chute !

    Enfin, Mobile inconnu lorgne du côté de l’intrigue policière qui peut rappeler celles d’Agatha Christie et qui pourtant, dans sa résolution, porte la touche Du Maurier.

    Ces nouvelles différentes et effrayantes éclairent d’un jour nouveau l’écriture de l’auteure et ses inspirations. Au-delà des thèmes développés, c’est tout le talent de Daphné du Maurier qui prend le lecteur à la gorge.

     

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    ¤ L’idée du bouc-émissaire  ( 1957) vient à Daphné du Maurier alors qu’elle est en France, pour des recherches pour un autre roman, en 1955.

    Elle flâne sur un marché lorsqu’elle croit reconnaître un ami de Tommy, son mari. Frappée par cet instant de confusion, elle réfléchit à cette image d’un homme qui rencontre par hasard son sosie et les conséquences qui pourraient découler de cette ressemblance fâcheuse … Elle choisit de placer son histoire en France, dans les lieux où ont vécu ses ancêtres. John, un professeur anglais, de passage en France rencontre son double français dans un bar. Le lendemain, ce dernier disparait, le laissant avec son chauffeur qui le prend pour le fameux Jean de Gué et l’amène vers le domaine et cette grande famille qui croit reconnaître le chef de famille. Si dans un premier temps, John s’amuse de cette nouvelle vie, il est rapidement dépassé par le caractère et le passé peu reluisants de Jean et s’il essaie de prendre la situation en main, il sera bien difficile pour lui de garder le secret …

    Pour les lecteurs d’aujourd’hui, le roman possède le charme rétro des années 50 , c’est peut-être même ce qui fait son charme. Cette famille est au cœur de sentiments forts, la belle image est sur le point de voler en éclats  car vie de Jean de Gué est une mascarade.  John réveille les passions et subit les répercussions des actes de son double, pendant la seconde guerre.

    Au-delà de son idée de départ, l’auteure va au près des sentiments humains et de ce qu'ils ont de plus noir. Si le lecteur est d’abord amusé par la situation et la crainte de voir John démasqué alors qu’il semble trouver une vague d’émotions qui semblent lui manquer dans sa vie anglaise, il est rapidement frappé par le drame qui se joue au sein du domaine.  

     

    A suivre : La crique du français, la relecture de Rebecca et La maison sur le rivage. 

  • Je peux très bien me passer de toi de Marie Vareille

    Depuis Bridget Jones et consorts, la chick lit divertit ses lectrices avec des histoires de coeur ratées qui finiront par amener sur le chemin de l’amour des héroïnes maladroites, gaffeuses et pourtant suffisamment attachantes pour que l’on désire les avoir comme meilleures amies.

    Je grossis volontairement le trait car pour moi, ces livres ont tendance à trop se ressembler  et exploiter toujours les mêmes ressorts, il en faut donc un peu plus pour retenir mon attention.

     

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    Avec son second roman, Marie Vareille relève le défi et me ravit avec un roman léger, drôle et plus profond qu’il n’y parait. Il faut dire qu’elle sait de quoi elle parle, elle-même lectrice convaincue devenue blogueuse littéraire partageant avec le plus grand nombre, sa passion pour la chick litt qu’elle dévore puis à son tour, prendre la plume.

    Et c’est certainement ce qui contribue à faire la différence puisqu’elle nous propose une jolie histoire d’amitié et d’un défi qui va changer la vie de deux jeunes femmes qui nous ressemblent.

    Quand il s’agit d’amour, Chloé et Constance sont très différentes. La première aime séduire mais  ne peut se défaire de sa relation avec son ex (devenu, en toute logique, son amant)  alors que la seconde, plus introvertie, préfère les soirées avec ses dvd d’adaptations ciné de Jane Austen et un bon chocolat chaud, aux sorties en boite …

    Conscientes d’être dans une impasse et de souffrir inutilement de situations qui peuvent être changées, elles lancent l’idée d’inverser les rôles : Chloé devra quitter Paris qu’elle aime tant pour se réfugier à la campagne où, loin des hommes,  elle se consacrera à l’écriture de son premier roman alors que Constance, de son côté, laissera son romantisme au placard pour apprendre à draguer comme une pro et coucher le premier soir avec un parfait inconnu.

    Tout un programme !

    Avec beaucoup d’humour et des clins d’œils qui feront mouche auprès des lectrices trentenaires  qui pourront se reconnaître dans l’une des deux versions, Marie Vareille tisse des intrigues qui vont amener ses personnages à se révéler et vivre, enfin.  Si les situations sont souvent drôles, le propos est sincère et touchant. Qui n’aurait pas envie de consoler Chloé ou d’accompagner Constance dans ses tentatives toujours cocasses, de séduction ? J'ai particulièrement ri avec cette dernière, qui n'a pas à rougir de sa ressemblance avec une certaine Bridget.

    Je peux très bien me passer de toi est une comédie romantique qui se lit le sourire aux lèvres et le cœur battant de découvrir la suite. Une vraie bouffée d’air qui fait de tant de  bien dans un monde plutôt morose et qui vous fera voyager de Paris aux vignobles Bordelais, en compagnie de deux amies que l’on quitte à regret … 

    LA comédie de l'été, à dévorer sans plus tarder ! 

     

     

    • Le site de l'auteur Marie Vareille : par là
    • Fan de chick lit, le blog littéraire de Marie Vareille :  à découvrir
    • L'interview de Marie Vareille par Coco : c'est ici

     

    Je peux très bien me passer de toi de Marie Vareille, aux Éditions Charleston, 2015. 

  • Petites recettes de bonheur par temps difficiles de Suzanne Hayes et Loretta Nyhan

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    Les romans épistolaires ont cette qualité particulière soit d’emballer le lecteur dès les premières pages et de lui faire ressentir fortement les émotions échangées dans les lettres soit d’agacer et de faire traîner inutilement une lecture rendue laborieuse.

    Car, voyez-vous, je pense que ce genre de livre se doit d’être le plus sincère possible pour nous faire  "vivre" ces courriers fictifs et avec leurs petites recettes, Suzanne Hayes et Loretta Nyhan relèvent le défi.

     

    Ce premier roman écrit à quatre mains nous plonge dans la vie domestique de deux femmes américaines pendant la seconde guerre mondiale. Leurs maris mobilisés en Europe, il leur faut combler ce vide et elles décident de participer à cette correspondance sans rien savoir de la personne à qui elles doivent écrire si ce n’est qu’elle est, comme elle, plongée dans l’angoisse et l’attente.

    Dans sa maison du Massachussetts, la jeune Glory veille sur son enfant à naître et son petit garçon de deux ans. Jeune mariée, elle est encore un peu novice dans son rôle de femme au foyer et cherche du soutien.

    De son côté, en Iowa, Rita Vincenzo a vu partir au front, son mari et leur fils unique. Elle a beau être courageuse, elle partage avec les autres femmes,  cette crainte du télégramme qui annonce le pire. Et ce ne sont pas ses beaux tournesols qui suffisent à la consoler …

    Séparées par les kilomètres mais réunies par le destin, ces femmes vont découvrir en l’autre, un soutien bienvenu et tellement sincère qu’il va les aider à traverser ces années difficiles. En se concentrant sur les petites choses du quotidien, comme les recettes à inventer pour rendre le rationnement plus supportable en passant par l’éducation d’un enfant dont le père est éloigné à l’entretien du jardin, Glory et Rita échangent plus que de simples mots : à chaque courrier, c’est le courage de l’une qui gagne l’autre, les moments de faiblesse sont partagés et c’est l’amitié qui l’emporte..

    Assises dans leurs cuisines, elles nous invitent à partager leurs peurs et leurs doutes, des anecdotes drôles qui pointent et surprennent) et surtout leurs secrets les plus intimes comme si nous étions des amies proches.

    Leurs lettres débordent de vie et ne cachent cependant pas leurs questionnements sur cette guerre qui va changer à jamais leurs vies.  Avec sensibilité et sans mièvrerie.

    Ce roman vous entraîne dans son sillage, la Grande Histoire pénètre dans votre salon, ces lettres échangées deviennent des leçons de vie, des petites madeleines que l’on prend plaisir à savourer en remontant le temps, pas si ancien qui nous renvoie forcément à l’histoire de notre propre famille et celle de ces soldats venus de l’autre côté de l’océan pour nous libérer …

    Fait amusant, les deux auteures se sont connues via le blog de l’une et ne sont pas rencontrées "en vrai" avant la fin de l’écriture du manuscrit. Ce qui rajoute une petite valeur sentimentale à cette fiction simple et touchante qui a été un vrai coup de cœur pour moi.

     

    Petites recettes de bonheur par temps difficiles de Suzanne HayesS et Loretta Nyhan, chez Pocket (2014) 

  • Inventaire 06 - Première partie

    Inutile de pointer le fait que je me suis encore laissée submerger par le quotidien en délaissant The shop et culpabiliser (vous avez affaire à une experte en la matière), je préfère vous parler directement de quelques lectures car c’est bien là, le plus intéressant, non ?

    Commençons par une déception que nous pourrions classer dans la catégorie" Ca aurait pu coller mais non".

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    • La maison d’hôtes – Retour à Cedar Cove 1 de Debbie Macomber ( Editions Charleston).

    Connaissant l’auteure pour ces précédentes séries (Blossom Street ou Cedar Cove), je savais que j’aventurais vers un roman léger et chaleureux, le genre qui réconforte et rassure avec la petite ville américaine typique, à taille humaine et où chacun se connaît et s’entraide.

    Jo Marie est veuve depuis peu et décide de changer de vie en achetant une maison d’hôtes à Cedar Cove, près de Seattle. La villa Rose nouvellement rebaptisée accueille donc ces premiers clients pendant cet hiver : Abby n’est jamais revenue en ville depuis le décès accidentel de sa meilleure amie. Venue assister au mariage de son frère, la jeune femme va devoir affronter les fantômes de son passé comme Josh, l’autre client de Jo Marie. Si son beau-père l’a chassé de la maison, à la sortie du lycée, Josh ne peut se résoudre à le laisser mourir seul et se résout à passer ces quelques derniers jours avec lui. Tous les trois,  Abby, Josh et Jo Marie vont devoir faire taire le passé pour mieux préparer l’avenir.

     

    Si j’ai aimé le personnage de Jo Marie, je n’ai pas été convaincue par les intrigues. Peut-être le style décidément trop simple, le manque d’attachement pour des personnages qui arrivent à mettre de côté des années de douleur en mois de deux ou encore l’énumération barbante des tâches quotidiennes,  rien n’a su retenir mon attention. Je me suis ennuyée, j’ai lu en diagonale. Le politiquement correct bien américain de Macomber se ressent jusque dans le choix des motivations des personnages, rien ne dépasse, il n’y a pas d’émotion ou si mal exprimé que cela en devient ridicule. .

     

    Petits mais costauds 

     

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    • La dame à la camionette d’Alan Bennet (chez Folio)

    J’ai découvert Alan Bennet avec l’excellent (mais trop court) La reine des lectrices et j’étais curieuse de retrouver sa plume drôle et décalée comme cet humour pince-sans rire so bristsih que j’affectionne.

     

    Cette dame a réellement existé. Vivant dans sa camionnette colorée, Miss Shepherd refait le monde , au milieu de ses vieilles fripes et autres objets entassés qui composent sa vie.Par un concours de circonstance, cette drôle de bonne femme s’installe dans le jardin de Bennet et va partager avec lui, quelques années qu’il relate ici. Sous forme de petites chroniques de souvenirs, l’auteur s’attache tant bien que mal à celle dont il ignore tout et qui marquera la vie de son empreinte comme peu de monde. Les anecdotes sont étonnantes, cocasses et déroutantes même. Là où on pouvait s’attendre à une analyse de classes dans ce Londres des années 80, on reste un peu sur notre faim, Alan Bennet préférant garder l’essence même de l’existence de la vieille dame à travers des instantanés plein de vie. Un petit livre sans prétention qui ne laisse cependant pas indifférent.

    A noter qu’une adaptation ciné est à sortir avec l’excellente Maggie Smith dans le rôle de Miss Shepherd.

     

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    • Le magasin des suicides de Jean Teulé ( Pocket)

    Un coup de cœur ( chroniqué ici) que ce roman décalé qui déborde d’humour noir et qui, à mon avis, déridera même le plus grincheux !

    La famille Tuvache a de la mort, son crédo. Dans son magasin, il est possible de se procurer de quoi réussir son suicide, les moyens d’en finir sont variés et les clients satisfaits puisqu’ils invitent parfois leur fournisseur à leurs funérailles. Tous se dévouent à leur macabre commerce sauf le petit dernier, Alan qui respire la joie de vivre !

    Imaginez alors la cohabitation sous le toit des Tuvache et les situations cocasses que cela peut engendrer ...

    A glisser dans sa valise pour les vacances pour glousser une après-midi de pluie ou sur la plage.

     

     

    A suivre : deux romans de Daphné Du Maurier ou comment je passe l'été en sa compagnie, le très bon second livre de Marie Vareille et une délicieuse correspondance entre deux américaines pendant la Seconde Guerre Mondiale.

  • Inventaire 05

    Doucement mais sûrement, j'ai repris le chemin du blog et je suis plus que ravie de pouvoir reprendre un rythme régulier ici et j'espère que vous prenez plaisir à découvrir de nouveaux billets. Je vous remercie d'être fidèle au rendez-vous ou petit nouveau ...

    Au sommaire de cet inventaire, des romans, deux films, des séries.

    J'ai lu

     

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    • Le coeur entre les pages de Shelly King ( Préludes), chroniqué ici. Un premier roman sur les bienfaits de la lecture et la place importante que peuvent prendre les livres dans nos vies mais pas seulement. Une ambiance avec cette carte postale d'un petit quartier de la Silicon Valley.

     

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    •  Mrs McGinty est morte d'Agatha Christie ( Le livre de poche) , chroniqué ici. Une nouvelle enquête de Poirot qui doit élucider un crime vieux de quelques mois avant que le présumé coupable ne soit pendu.

     

    Emprunté à la bibliothèque

     

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    • Une vie entre deux océans de Margot Stedman. Après la seconde guerre mondiale, Tom accepte un poste de gardien de phare et emmènage avec sa femme, sur l'île de Janus. Seul un enfant manque à leur bonheur. Jusqu'au jour, où dans un canot échoué, ils découvrent le cadavre d'un homme et bébé, bien vivant ...  Une histoire bouleversante dont la lecture soulève tant de questions !

    Le pavé du mois

     

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    • Broadway limited de Malika Ferjourhk ( Ecole des loisirs) qui mérite son billet à lui seul tellement il déborde de personnages et d'intrigues. A venir donc ...

     

    Deuxième pavé entamé mais pas terminé encore

     

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    • Outlander, tome 2, Le talisman de Diana Galbadon ( J'ai lu). Ce nouvel opus commence très bien par une pirouette de l'auteur. Il me faut cependant trouver le temps d'en lire les 600 pages sans avoir à le transporter ...

     

    Au cinéma, j'ai adoré

     

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    • Un peu, beaucoup, aveuglément de et avec Clovis Cornillac et Mélanie Bernier et j'en ai parlé ici.

     

    J'ai aimé puis j'ai découvert que l'intrigue ne respectait pas les faits historiques donc je suis plus mitigée 

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    •  Les jardins du roi de et avec Alan Rickman, Kate Winslet et (le beau) Mathias Schoenaerts.

    Sous le règne de Louis XIV, André Le Nôtre est chargé de créer les jardins du château de Versailles. Il engage une femme paysagiste, Sabine de Barra et lui confie la création de la salle de ban extérieure. Avec son caractère affirmé et ses idées nouvelles, elle bouscule les codes et Le Nôtre. S'en suivent  de nombreuses découvertes et intrigues à la Cour pour la jeune femme ...

    Seconde réalisation de l'acteur britannique Alan Rickman prend de grandes libertés avec l'Histoire et je ne comprends pas cette démarche. Le choix de Kate Winslet pour incarner un personnage féminin fort s'avère judicieux mais Sabine de Barra n'ayant jamais existé , on peut se demander à quelle part de réalisme s'attacher... Il n'y a bien que Le Nôtre qui peut être ravi de se voir rajeuni ! Reste une histoire d'amour touchante et quelques scènes particulièrement réussies comme la rencontre entre le Roi et Sabine.

     

    Enfin coté séries, j'ai regardé :

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    • Disparue

    Diffusée sur France 2, cette série policière française pose son intrigue au coeur de Lyon et contre-attente, propose un scénario bien ficelé qui n'a pas à rougir de ceux de ses cousines anglo-saxonnes. Certes, la jeune adolescente qui disparaît n'est pas l'idée la plus originale, surtout avec après le très bon Broadchurch mais l'ensemble est très bien interprété et la ville est particulièrement bien mise en lumière.

     

    • Le final de la saison 4 de Scandal -

    Fidèle à elle-même, la série joue sur les rebondissements successifs. Rien n'est facile dans les coulisses de la Maison Blanche, encore moins pour Olivia Pope. Cette fichue intrigue du BC13 ne m'accroche pas du tout alors que j'ai adoré voir Mellie prend (enfin) plus de place dans cette saison 4.

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    • Le final de la saison 7 de Castle

    Cette septième saison a failli être la dernière, le renouvellement n'est arrivé que tardivement et j'ai particulièrement apprécié le soin apporté au final, qui aurait pu conclure les aventures de Castle. Les intrigues policières mériteraient d'être plus travaillées, à la longue, elles sont le point faible mais retrouver les personnages et suivre leur évolution est toujours intéressant. Rendez-vous pour découvrir ce que l'avenir réserve à Kate tant il est rare d'avoir un personnage féminin fort et sensible, qui ne soit pas le faire-valoir du héros ...

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    N'hésitez pas à partager vos derniers coups de coeur dans les commentaires et retrouvons nous prochainement, pour la suite.