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  • Revoir tout ca

    S'il y a bien une chose sur laquelle, j'aimerais m'améliorer cette année, c'est l'affirmation de soi.

    Ce truc invisible et bien utile qui permet d'être en accord avec ce que l'on pense, vraiment, à l'intérieur.

    Hier, j'ai tenté un truc un peu fou, j'ai poussé la porte de la parfumerie. Bien décidée à m'acheter mon fond de teint Clinique qui me convient si bien, j'y suis allée sûre de moi.

    Erreur. Ne jamais baisser la garde dans une parfumerie.

    Les vendeuses, sous des apparences souriantes et avenantes ( comment font-elles pour être toujours aussi bien maquillées ? Sont-elles humaines ? ) guettent la moindre petite hésitation pour s’engouffrer dans la brèche et nous faire sentir comme cette pauvre fille qui ne sait pas prendre soin de sa peau et quoi doit, pour assurer son avenir, investir dans ce produit efficace et coûteux.

    Si vous exercez cette profession, sachez que je suis convaincue qu'il existe des exceptions - j'en ai rencontré au moins deux qui savent me mettre en confiance et me guider avec sérieux sans chercher à faire fumer ma carte bleue.

    Manque de bol, elles étaient occupées, hier matin et j'ai eu la faiblesse de céder à la première conseillère venue. Qui a commencé par me dire qu'elle n'avait plus mon fond de teint préféré, qu'elle pouvait m'en conseiller un autre, me démaquiller une joue sans que j'ai le temps de protester et appliquer une énorme couche au pinceau d'un produit Dior.

    Là, au milieu du magasin, une joue tartinée, le discours vicieux et sournois glissé à l'oreille, j'ai faibli. J'ai oublié de demander le prix (on passera sur mon infidélité à Clinique, hein ...).

    Délestée de près de 40€ de plus de ce que j'avais prévu (un anti-cernes s'est malencontreusement glissé dans mon sac), je suis sortie légèrement contrariée.

     

    Que celle à qui ce genre d'incident n'est jamais arrivé, me jette le premier mascara effet-faux-cils dans l’œil.

     

    Non mais.

     

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    Impossible de retrouver la source de l'image de ce dessin de panda que j'aime beaucoup.

     

     

  • Sunday #14

    Dis, à quoi tu penses ?

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    ¤ Au week-end qui touche déjà à sa fin, comment est-ce possible que deux jours ne durent pas plus longtemps ?

    ¤ A ce livre que je suis en train de lire (et qui pourrait me tenir éveillée toute la nuit) "On a tiré sur le président" de Philippe Labro sur l’assassinat de Kennedy . A cet époque fascinante, au mythe et ce qui l'en reste aujourd'hui ...

    ¤ Aux petits chats de la boutique en ligne d'Audrey Jeanne

    ¤ Au temps qui passe, à ce qui est important et ce qui ne l'est pas, à cet essentiel que je cherche toujours.

    ¤ A nos vies de femmes, si différentes, si semblables. A ce droit fondamental aussi qui déclenche encore le débat. A lire ce billet très juste de Géraldine Dormoy .

    ¤ A cette envie de couleur dans les cheveux, rien de bien spectaculaire mais un brunette plus lumineux.

    ¤ A mon ciné de quartier qui ne passe pas ce que je veux, en ce moment.

    ¤ A mes sautes d'humeur, pas faciles à gérer.

    ¤ A ma recette de cookies aux fruits confits, dénichée dans le très joli magazine, Esprit d'ici du mois dernier et qui a un succès fou.

    ¤ A cet interview de Christophe André dans le dernier ELLE, qui rappelle que le bonheur est un muscle que l'on peut travailler. Rien n'est (heureusement) figé.

     

     

    Et vous, à quoi pensez-vous en ce moment ?

     

  • Where you lead, I will follow #5

    Reprenons les bonnes habitudes avec une série de liens qui ont retenus mon attention ces derniers temps comme ...

     

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    Diane Keaton et Jack Nicholson - 1981 ( via ce tumblr)

     

    • Ce billet sur le blog Morning by Foley  à propos de l'un des effets négatifs de Pinterest qui consiste à épingler toutes sortes d'idées sans prendre le temps de réaliser quelque chose. Et si nous nous reprenions le goût de créer ? Avoir des idées, c'est bien et dieu sait que le net regorge de jolies choses mais prendre le temps de les faire, ça n'a pas de prix. Je partage entièrement son point de vue !

     

  • Sunday #13 : Remember why yous started

    Parce que ce mois de janvier est un peu rude, j'ai tardé à venir ici et pourtant, je vous souhaite, chers lecteurs, une très bonne année ! Espérons qu'elle soit riche en surprises, réalisations, bonnes lectures et  aussi douce et légère que possible.

    Personnellement, je combats cette idée fausse qui voudrait que les douze prochains mois soient à l'image des premières heures de 2014. Entre l'hospitalisation de ma grand-mère (heureusement revenue chez elle, depuis) et mes tantes malades, je peine à (re)trouver le calme.

    Evidemment, à côté des contrariétés, il y a toujours de bons petits moments qui réchauffent l'âme et qui aident à avancer. En me concentrant sur mes objectifs (avec plus ou moins de succès), je trace ma route. Qui ne semble pas toujours compatible avec les transports en commun mais j'y travaille.

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    Pour le retour sur le blog, je vous annonce ma première lecture commune de l'année, avec Fée Bourbonnaise avec Le journal de Capitaine Wentworth d'Amanda Grange . Nous partageons décidément beaucoup puisque, comme elle, je reviendrai sur le premier roman d'Angela Morelli. Il devrait aussi y avoir une LC avec Emy si nous arrivons à nous accorder sur nos emplois du temps.

    Je vous laisse avec ma chanson du moment, ce morceau de Florent Pagny, composé par Calogero et qui, peut sembler un peu simplette à la première écoute alors qu'elle dégage une belle émotion et que Pagny reste décidément une voix à part. Comme beaucoup, le samedi soir, je regarde The Voice et je suis ravie aussi de l'ajout de Mika : j'adorais Louis Bertignac mais il faut reconnaître que le trentennaire apporte une réelle fraîcheur à l'émission .