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  • Ingrid

    Ingrid Betancourt et sa directrice de campagne Clara Rojas, sont prisonnières des FARC depuis le 23 février 2002.
    5 années passées dans la jungle pour les deux otages, des familles qui vivent cette attente insoutenable sans avoir de preuves de vie et qui se raccrochent à une radio qui diffuse leurs messages de soutien et d’amour que parfois, leurs proches peuvent entendre. Rendez vous compte, cinq années à survivre dans la jungle, à marcher pour passer d'une cache à un autre, à être privé de ses proches et d'un des droits les plus élémentaires, la liberté !

    Ils sont, malheurusement, près de 3000 otages en Colombie.

    Ne pas parler d’Ingrid serait pour moi, oublier le combat d’une femme que j’avais découvert un peu avant son enlèvement, à travers ses mots dans un numéro de « Elle » et que j’ai suivi depuis cette époque.

    Née à Bogota, elle a fait une partie de ses études en France. Elle est devenue citoyenne de notre pays par son premier mariage et a toujours aimé notre culture.
    Après son divorce, alors qu’elle aurait pu choisir de vivre à l’abri du besoin, une vie tranquille, elle entre en politique pour le peuple colombien, qui vaut bien mieux que toute cette corruption, au sein du pays, qu’elle dénonce.
    Elue députée puis sénatrice, elle n’a de cesse de lutter pour contre ce mal qui ronge sa patrie et ce, malgré les menaces. C’est lors de la campagne présidentielle de 2002, qu’elle est enlevée par les FARC.

    Son combat, sa vie de femme me touche. Je me souviens de l’émotion que j’ai ressenti en entendant les informations. Puis celle qui m’a serré la gorge quand j’ai lu l’été suivant, la rage au cœur (Pocket) où elle se livre sans détour. La suivre au travers des pages, au calme à la campagne , sous le soleil de mes vacances et la savoir prisonnière au même moment, m'a bouleversée.
    Plus que mots, ce sont les siens que j’aimerais que vous lisiez :

    « Je m’appelle Ingrid Betancourt, j’ai 40 ans, je suis mère de deux enfants. Je suis sénateur de mon pays, la Colombie.
    Je dois beaucoup à la France. Je voulais raconter mon combat au pays qui m’a appris la démocratie et la liberté. Vous savez combien les cartels de drogue sont puissants chez nous. Vous entendez parfois parler des tueries qu’ils provoquent. Mais derrière ces organisations mafieuses, il y a mon peuple, un peuple courageux et fier qui veut sortir de cet engrenage infernal. Depuis maintenant 10 ans, je me bats pour lui.
    C’est dangereux. Mes enfants ont été menacés s et j’ai dû me séparer d’eux pendant trois ans.
    A deux reprises, la mafia a tenté de me tuer. Je suis consciente du danger mais il ne me fera pas reculer.
    »

    medium_BetancourtIngrid.jpg

    Hasard du calendrier, j’ai enfin trouvé le livre regroupant les lettres que sa maman Yolanda lui adresse via la radio, tous les matins («  Ingrid, ma fille, mon amour » de Yolanda Pulecio Betancourt Chez Robert Laffont) : des textes forts, remplis d’amour, de nouvelles de ses proches, de cette longue attente, de l’impatience de la revoir et la mobilisation de sa famille : sa sœur Astrid, ses enfants Mélanie et Lorenzo qui se battent pour sa libération.

    Mélanie Betancourt était présente chez Laurent Ruquier la semaine dernière. J’avoue être à la fois bufflée par son courage et émue de la voir se battre de la sorte, on ressent alors tout son amour de petite fille et le manque mais aussi sa formidable détermination. Elle semble si forte et pourtant n’a que 21 ans. La vie ne devrait pas pousser les jeunes vers une maturité trop tôt acquise. Il faudrait pouvoir garder un peu d’innocence, tout au long de son chemin, vous ne croyez pas ?

    Cela peut paraître un peu stupide mais j’avais besoin d’écrire cette note.
    Un élan du cœur envers une personne et une cause plutôt qu’une autre ne s’explique pas forcément. Ne se dit pas aussi, forcément mais pour Ingrid, Clara et leurs proches, il est important de se mobiliser. Pour ne pas les oublier et faire qu'un jour, elles soient libres ! 

  • "La vie, c'est tellement ...Enfin, bref."Kelly Marquette alias Skeletor*

    ~ Cette note écrite la semaine dernière mais non postée, faute de connexion, colle encore desespérement à l'humeur de ce dimanche soir ...La voici donc. *Citation extraite de "Quatre filles et un jean" d'Ann Brashares".~

    Les photos de notre enfance ont un pouvoir magique, celui de nous replonger instantanément à cette époque, de revivre ce que nous ressentions alors, du soleil de ce jour d’été à la joie que nous avions eu,  en apprenant à faire du vélo sans petites roues à l’arrière.
    Les sourires que l’on peut y voir semblent vouloir durer toujours, il ne sera jamais remis en question que nous étions heureux à l’anniversaire de nos 6 ans mais quand en est il aujourd’hui ?

    Notre regard change, bien sur que la petite fille était heureuse et il n’y a pas forcément  de raison pour qu’elle ne le soit pas maintenant , elle est juste un peu mélancolique en se replongeant dans ses souvenirs.

    Les personnes présentes sur les clichés ont pris quelques rides au coin des yeux, certaines des cheveux gris. Il en y a qui sont partis, loin, très loin. D’autres sont arrivés. Pourtant, les rêves sont restés les mêmes, chacun souhaite du bonheur et de l’amour.

    Je ne sais que trop bien ce que pense cette petite fille à la frange en désordre : elle croit dur comme fer que sa famille est unie, elle sait qu’elle a de la chance, ce n’est pas toujours le cas. Elle se dit aussi que les personnes qui l’entourent sont formidables, elle sait qu’elles ne sont pas parfaites (qui peut prétendre l’être) mais elle ne voit pas les défauts. Comme beaucoup de gamines, elle considère que son père est le meilleur même si ceux des amies sont plus rigolos parfois, elle veut croire que c’est le plus fort, quoi qu’il arrive.

    Grandir, c’est réaliser que les adultes que l’on aime ne sont que des êtres humains, qu’ ils n’ont pas forcément une solution à tous les problèmes, qu’ils ont aussi des failles.
    Ils peuvent commettre des erreurs aussi grandes qu’eux mais  malgré tout, on sait qu’on les aimera toujours.

    Je croyais être « grande ».
    Je pensais que j’avais bien rangé mes désirs de famille extraordinaire avec mes poupées, au fond du tiroir.
    Mais ils n’étaient pas si loin et je suis déçue d’être déçue, une fois de plus.

    La colère ne sert à rien. Elle ne permet pas d’avancer dans la vie et pourtant je ne n’ai pu m’empêcher ces derniers jours, d’en éprouver. Contre moi, contre lui.

    L’appareil numérique attend de nouvelles images, de beaux éclats de rire à saisir …

    Je crois avoir assez grandi, pour le moment. C’est décidé, la petite fille regagne la boite à fleurs et la jeune femme va profiter du présent, pour une fois.

    Mood : medium_groggy.2.png Groggy

     

  • Accro

    Quand c’est arrivé, j’étais en train de surfer. 10h du mat’, je tentais un réveil en douceur sur la toile. N’allez pas croire que je suis flemmarde, je me lève plus tôt mais ai la chance de me connecter au monde quand je le décide. C’est au moins un des points positifs de la situation.

    Je n’ai pas tout de suite compris, j’ai essayé quelques manip’ de secours, je suis restée zen.
    Voyant que je me cassais le nez, je suis passée à la vitesse supérieure, j’ai déplacé mes fesses jusqu’au salon, débranché puis rebranché. Associer, dissocier. J’avoue que j’ai commencé à râler un peu » Faut pas pousser le pc, qu’est ce que tu me fais ? « . Arrêter, redémarrer.
    J’ai senti un frisson  me parcourir le dos, descendre le long de la colonne, me glaçant le sang, mon pouls s’est alors accéléré, le souffle plus court, une légère pression est venue cogner contre mes tempes : le changement de débit !
    Ce bon vieux retour de la panne, la dernière ayant duré trois bonnes semaines, il y a deux ans.


    En gros, à l’époque, mon père avait décidé que le net était trop lent, j’avais défendu notre ligne, nous avions tout de même essayé le changement (c’était « son » dernier mot) et avions du nous rendre à l’évidence que non, la ligne n’avait pas envie de changer de vitesse de croisière (têtue quand même) !
    Au bout de trois longues semaines de coups de fils incessants chez le fournisseur d’accès et France Télécom, les uns nous prenant (enfin sur tout moi, il faut le reconnaître) au mieux pour des neuneus de premières (Eux-«  vous devez cliquer sur l’oiseau en bas, je répète l’oiseau ….vous le voyez ? Il a des ailes. Moi – Vous voulez parler du carré ? ><  ), les autres pour des bonnes poires.

    Bref, c’est ce souvenir tragique qui m’est revenu en tête quand je n’ai pu me reconnecter au net.
    Les heures ont passées, j’ai vaguement essayé de me persuader que ce n’était rien de grave, juste une perturbation passagère. Je suis restée très calme, m’essayant à la méditation et au yoga, me revoyant la veille dire à ma filleule de 12 ans « mais tu sais, on peut très bien vivre sans le net ! »…
    Tu parles ! A 18h, quand mon père est rentré, il a retrouvé son unique fille au bord de la crise de nerfs, s’arrachant les cheveux, les yeux exorbités, répétant dans son coin cette phrase « Je veeuuuuuuuuux le neeeeeeeettttttttttt « quasiment en pleurant.
    Une internaute en manque, ce n’est pas beau à voir. Parce qu’il faut se rendre à l’évidence, je suis encore plus dépendante que je ne le pensais.
    Passe encore de ne pas aller lire les news du jour (Quoi ? Ecouter la radio ? L’Ortf, c’est ça ?  ). La lecture de certains blogs n’est pas non plus essentielle. Je peux arriver à me passer des spoilers de Lost, ne pas penser aux forums qui peuplent la toile.

    Mais ne pas avoir accès à mes mails, à mon blog, à ces conversation sur msn sans importance et pourtant si belles avec mes amis, voilà des choses que je ne peux pas supporter ! Coupez moi du monde si vous voulez mais pas du net !
    Pour essayer de tenir, mentalement, j’ai fait une liste des sites où j’irais en premier pendant que mon père faisait un brin de conversation avec l’assistance.

    Remotivée par l’espoir fou de voir l’incident réglé dans les 48 heures, je me suis réveillée de meilleure humeur. A 10h, j’envisageais même cette coupure comme une pause, l’occasion de faire tout un tas de choses que je n’ai jamais le temps de faire. A 10h05, je me décidais à mettre à jour ma correspondance. A10h10, je me disais qu’écrire une lettre était ce qu’il y avait certainement de plus merveilleux au monde et ainsi de suite, tout au long de la journée.

    Je jetais encore quelques regards aux diodes qui refusaient de ralentir, espérant secrètement retrouver ma dose quotidienne. « En manque » je vous dis.

    J’ai découvert par hasard le retour du web dans ma vie. Une fenêtre s’est ouverte avec mes nouveaux mails. Mon cœur s’est remis à battre plus vite, avec anxiété et un peu déboussolée, j’ai fermé les yeux en cliquant sur l’icône : je ne voulais pas être déçue …
    Il a bien fallu que je me rende à l’évidence, j’ai rouvert un œil, puis un autre.

    J’ai de nouveau une connexion ! J’aurais pu bondir sur le pc dès hier soir mais étrangement, j’ai savouré ma dernière soirée « sans ». Pour mieux replonger aujourd’hui.

    Accro, je suis !

    Edit: La connexsion joue au yo-yo avec les nerfs de mon père. Avec les miens aussi. En gros, je tape ce message entre deux "clashs" en espérant que tout soit rentré dans l'ordre, pour de bon.

    Priez pour moi, si vous ne savez pas quoi faire ;p....

  • Sur l'écran noir...

    Questionnaire pas si facile que ça, déjà présent chez Alanis et Titania... 

    Si j’étais …

    Une comédie française : Ca existe ? Je suis méchante, je sais mais je m’étonne à aimer autant ce cinéma américain si décrié et à me méfier du cinéma français, un peu trop branché « prise de tête «  pour moi. Bon d’accord, il y en a mais la seule que je retiens vraiment et qui n’est pas vraiment une "comédie comédie" c’est  le Fabuleux destin d’Amélie Poulain , un petit bijou que j’ai découvert beaucoup plus tard que la moyenne mais qui m’émeut toujours autant.

    Une comédie étrangère : Vous avez un message , forcément et Love Actually mais je pourrais vous faire une longue liste….

    Une comédie de mœurs : J’aurais peut être besoin d’une définition …Peut être  L’auberge espagnole , si propre au monde étudiant, bien ancrée dans son époque qui a ce « je ne sais quoi » qui fait que l’on s’y retrouve…

    Une comédie musicale : West side story, un classique !

    Une comédie dramatique : Forrest Gump. Pour tout ce qu’il représente : cette tranche d’histoire des Usa, Jenny et ce regard sur le monde si particulier …Et la boite de chocolats !

    Un drame :  Pour l’amour d’une femme  avec Andy Garcia et Meg Ryan. Bouleversant. ( Love story aussi …)

    Un film d’action : C’est le genre de films qui passent le dimanche soir et que je me plais à regarder de temps à autre mais de là à citer un titre….Je reste dans la filmographie de Meg Ryan avec  L’échange .

    Un film d’aventure : Vous voulez vraiment que je reconnaisse avoir une mémoire de poisson rouge ?

    Un thriller : d’après Allociné, Ocean ‘s eleven entre dans la catégorie. J’adore ce film. Pas seulement pour Georges Clooney… Il y a aussi Brad Pitt ;) !

    Un polar : Rien que le mot me fait penser à Hitchcock

    Un film d’horreur : Pas fan du genre mais le picth de Carrie me plait bien ;) !

    Un film SF : Ce n’est pas vraiment mon truc mais je dirais Independance Day pour la scène où Will Smith marche dans le désert en râlant, en tenant la bête il me semble dans son parachute…

    Un film à costumes : Comme j’aurais aimé être Jo March, je pense à l’adaptation des Quatre filles du D March avec Winona Ryder. Mais il y aussi Autant en emporte le vent qui reste un chef d’œuvre :

    Un film de guerre : encore un de ses films du dimanche soir …je suis incapable de donner un nom !

    Un film de séries Z : Princesse malgré elle avec Anne Hathaway et Julie Andrews, adapté de la série de romans de Meg Cabot « le journal d’une princesse ».Enfin une catégorie pour moi !
    La plupart des films que j’aime sont relégués au fond du placard par les critiques de cinéma…

    Un western : Butch Cassidy et le Kid avec Robert Redford (coucou Titania ;) ) et Paul Newman

    Un film d’animation : Les Aristochats  parce que « tout le monde veut devenir un cat… » Et Cendrillon.

    Un Court métrage : J’avoue que j’en vois rarement.

    Une Pub : Kenzo réalise de très jolis spots pour ses parfums, en ce moment, celui pour Kenzo Amour est une invitation au voyage !

    Un Vidéo clip : Like a prayer de Madonna. Je garde les émotions de l’époque : son 33 tours qui sentait le patchouli, maman qui lève les yeux au ciel et moi qui la trouvait belle…

    Un film Muet : Les temps modernes. Incontournable.

    Un documentaire : Un documentaire sur la vie de Simone Weil, passé il y a quelques temps sur France 3.

    Un reportage : Un de ceux du journal de 20 heures, qui surprend parce qu’il amène un peu d’espoir au milieu des infos du soir.

    Une musique de film : Forcément celles de Bridget Jones, Love actually, Bodyguard ou Fame…enfin vous voyez le genre ;) !

    Une réplique qui m’a marquée : « Je vous enverrais un bouquet de crayons fraîchement taillés « dans vous avez un message.

    Je vais moins au cinéma, je profite de soirées dvd à la maison et me concentre sur ce que j’aime. Pourtant j’apprécie l’ambiance des salles obscures mais je pense que cela correspond à un état d’esprit, je déteste y aller seule. J’ai aussi besoin de douceur et me réfugie dans mes comédies romantiques préférées….

  • Quand les souris ne sont pas là, le chat vient dormir à la maison.

    Que faire quand toute une petite famille doit partir au ski et que Minette n’est pas spécialement fan de la poudreuse ?
    Demander à un proche de prendre soin de la demoiselle en son absence est la meilleure solution : ma mère et moi avons répondu positivement à la demande de ma marraine.
    Nous sommes de vraies » mères chats » comme le dit ma grand-mère, nous aimons toutes les deux papoter avec les félins qui croisent notre chemin.

    Et la maison semble bien vide depuis le départ de Gaufrette…
    C’était sans compter sur l’obstination d’une polissonne qui, en plus d’être une chasseuse hors pair, s’avère être une boule de » ronrons » une fois à la maison.

    C’est bien connu, le chat aime les habitudes et depuis le début de la semaine, Melle a pris ses quartiers dans les chambres de la maison et passe sa nuit dans mon lit.
    Si j’aime autant les félins, c’est pour leur indépendance. Il faut savoir les apprivoiser. Ils sont libres et n’en font qu’à leur tête. Ils sont « sauvages » et n’acceptent la compagnie que s’ils en ont envie. Un peu comme moi.
    Et Melle, ne déroge pas à la règle. Un peu craintive, il faut savoir l’apaiser avec des mots doux et rassurants, baisser le volume du son et la laisser explorer son nouveau territoire.

    Quelques livres par terre et une casserole léchée plus tard, je me suis retrouvée à éteindre une lampe pour qu’elle dorme …J’ai craqué mais c’était gagné d’avance pour elle.
    Comment voulez vous que je résiste à cette petite tête mutine, à ces petites pattes qui ont l’air d’avoir trempées dans la peinture et que j’ai retrouvée en train de jouer dans la baignoire ?

    Accueillir un chat même pour une semaine, c’est

    -Entendre le bruit que fait le sachet de croquettes quand on le secoue.
    -Essayer d’attraper le chat grâce à ce bruit et se retrouver à quatre pattes la tête sous le meuble de cuisine.
    -Etre au lit, bien au chaud sous la couette en train de lire et entendre un minuscule « miaou », derrière la porte fermée. Se lever quand même.
    -Sentir une bouillotte toute chaude sur ses jambes. Ressentir ce même poids au milieu de la nuit mais sur son ventre. Mais ne pas bouger.
    -Faire attention à la boule de poils quand on se tourne dans le lit, la nuit, de peur de la réveiller, quitte à faire une gymnastique pas possible pour ne changer qu’une jambe de côté.
    -Accepter d’éteindre une lampe car on sent que le chat est gêné pour dormir.
    -Finir par éteindre complètement et laisser son bouquin en plan, au milieu d’un chapitre passionnant.
    -Se prendre un coup de patte sur la tête sans savoir pourquoi.
    -Voir le chat avancer sur le dos (au choix : dans la baignoire, sur le tapis, sous le buffet...)
    -Observer  ce même chat s’installer dans un fauteuil pour son dodo, à 21h et regarder les yeux super réveillés du même chat qui a envie de jouer à 23h.
    -S’endormir dans une position pas confortable, avec un petit bout d’oreiller et un minuscule morceau de matelas mais sourire en écoutant le ronronnement apaisant du félin…

    C’est décidé, « quand je serais grande », il y aura toujours un chat à la maison.
    Même si les vieilles filles qui parlent aux chats sont prises pour des folles.
    A moins que d’ici là, un chaton ne vienne se perdre dans le jardin…

    *Ca fait du bien de revenir ici ...*

    Humeur: medium_cheerful.png Cheerful

    Bande son : Nolwenn Leroy "Running up tha hill"