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The Shop Around The Corner - Page 156

  • C'est déjà ça

    Depuis quelques jours, j’essaie d’écrire sur quelque chose qui me tient à cœur et je n’y arrive pas. Les mots que je tape sont fades, en dessous de ce que je voudrais transmettre. Dans l’absolu, ce n’est pas bien grave et pourtant, cela me travaille. Un bout de phrase noté sur un papier, l’essai d’une introduction dans un carnet, deux trois idées fortes sur un post- it…

    Je sais que j’y arriverai. Et si le chemin était le meilleur moment ? Bien sur, arrivé à bonne destination est agréable mais chercher, retourner son esprit, espérer, croire que l’on peut le faire, sentir ses épaules baisser sur le poids de qui nous apparait soudain, si énorme, je crois que cela fait partie du jeu.

    Dans sa note du jour, sur son site officiel (rubrique blablablog) , Katherine Pancol ( que je vous recommande de lire, que se soit l’un de ses romans ou l’une de ses notes qui sont des bulles de bonheur, des petits moments volés sur le coin de son bureau..) a écrit ces quelques lignes :

    « Et c'est alors que je comprends qu'écrire est un exercice physique. Qu'il faut être robuste et vigoureux. Qu'on tient tête aux mots, aux idées, qu'on bande les biceps dans la tête, que ce n'est pas un exercice de mollement alanguie sur son canapé, mais une activité de flibustier. Posté tout en haut du mât, on affronte les intempéries.
    Je le sais, mais je l'oublie tout le temps ! Je dis mais non, mais non, on écrit comme on patine, on glisse sur les mots qu'on a lus, enfant...
    On glisse, d'accord, mais les muscles des cuisses bien bandés !
    »

    Et là, devant mon écran, je comprends. A mon échelle, bien sur, je ressens tout de même ce qu’elle exprime. Cela explique bien de choses sur ma route, mes hésitations et peurs mais je sais qu’un jour, je serais moi aussi un flibustier !

    Je vous conseille, comme Katherine et tant d’autres, de regarder la rediffusion du documentaire sur Alain Souchon, cette nuit vers 2h du matin sur France3. Cet homme est profondément léger. Il y travaille, il lutte pour trouver la beauté dans nos vies(ce dont je ne me doutais pas forcément) et les mets en musique pour nous faire sourire. Il ressemble à un lord anglais qui aurait perdu le nord, il est drôle, intelligent et sensible.

  • Merci Sophie F.

    Un matin comme un autre, après avoir trâiné au petit déjeuner pour lire une interview d'Alain Souchon, je rejoins mon petit bureau dans ma chambre, les livres et cd qui l'envahissent et mon pc portable, déjà ouvert. La première chose que je fais est de vérifier mes mails. Des pubs qui me promettent nombres de réductions pour les fêtes (et qui me feraient presque oublier que j'ai des cadeaux à faire, non, je ne peux rien m'acheter !) puis les courriers qui m'annoncent l'arrivée de commentaires sur mon blog.

    Un nouveau commentaire vient d'être posté sur votre blog, sur la note "Quand miss Hello rencontre Sophie Fontanel"...

    Tiens, elle date un peu cette note, me dis-je. Qui a bien pu farfouiller dans mes archives (ça chatouille !) ...

    Ce commentaire a été posté par Fonelle.

    Encore un peu endormie (en pyjama, le cheveu retenu par une grosse barrette), je me demande qui est cette Fonelle ...

    Fonelle. Fonelle. Fonelle.... FONELLE !

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    Mon coeur ne fait qu'un bond ! Je manque de m'évanouir !!! Fonelle est le personnage créé par Sophie Fontanel dont je lis chaque semaine les aventures dans mon ELLE adoré !!! Le blog dont je parle dans ma note est le sien !!!

    Il est évident que ce commentaire a pu être laissé par n'importe qui, avec l'adresse du blog et me faire une farce, je ne suis pas naïve. Enfin, si, bien trop souvent mais pas là.

    Mais... mais ... mais, j'ai envie de croire que c'est bien de Fonelle qu'il s'agit. Qu'entre deux mails, son propre blog, elle a pris le temps de me laisser ce petit "merci".

    Et j'ai envie de lui dire "merci" à mon tour. De lui demander comment elle va et papoter comme avec une vielle copine. Demander à Sophie si c'est vraiment aussi chouette d'écrire pour ELLE. De croire au père Noël et à Fonelle.

    Nous sommes bien le 1ier décembre ....

     

  • Quand George est revenu ...

    Un mois de novembre bien gris, une envie de rouge pour ce mois de décembre qui s'annonce autrement plus amusant, il n'en fallait pas plus pour que je farfouille dans mon pc et ressorte de mes cartons dossiers, cette magnfique bannière réalisée par Mali_Marie (on peut consulter ses créations sur son live journal ) que je remercie encore et embrasse très fort !

    J'aurais aimé élargir un peu la colonne du milieu, celle des notes mais les templates ne veuillent pas me céder leurs secrets... Je ne lâche pas l'affaire mais j'avais vraiment envie de nous faire ce cadeau et j'ai l'impression que cela vous plait déjà (des impatients n'ont pas attendu que je tape ma note, je les comprends ;)) !

    Deux , trois petites choses sont succeptibles de changer mais rien ne bien important.

    Bonne fin de week-end à tous, n'oubliez pas d'ouvrir les calendriers de l'avent, demain matin ;) !

     

  • Changements en cours

    Note à suivre ...

  • Australia

    Ok, je suis le genre de fille à rater tous les films qui sortent en salles et à me rattraper à leur sortie en dvd mais il y a tout de même des grands moments d'émotion que je veux découvrir sur grand écran, comme le film Australia, qui sort le 24 décembre. Je sens que je vais prendre sous le bras, une des filles de la maison, présentes pendant les vacances (mère, tante ou marraine ) et aller vibrer au rythme des aventures de Nicole Kidman et Hugh Jackman.

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    Australie du Nord, fin des années 30.
    Lady Sarah Ashley, aristocrate anglaise hautaine et renfermée, arrive au coeur des paysages sauvages de l'Australie et se retrouve à devoir gérer seule un gigantesque domaine. Contrainte pour sauver l'exploitation de partir vendre 2 000 têtes de bétails à des milliers de kilomètres, elle n'a d'autre choix que de faire équipe avec un cow boy local un peu rustre.
    Cette aventure à travers les terres aussi magnifiques qu'inhospitalières du pays transformera à jamais ces deux êtres que tout oppose. Au bout de leur périple, la ville de Darwin doit faire face aux bombardements japonais.

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    Je suis sous le charme du rétro de cette photo ...


    Il y a comme un air des grands films d'Hollywood, tant dans l'histoire romanesque ou les costumes et paysages... Une grande fresque certainement dans la lignée d'"Autant en emporte le vent" . J'ai hâte !

    Bande annonce : ici