Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • "Shoe addicts" de Beth Harbison ( Fleuve Noir)

    shoe addicts.jpg

     

    Présentation de l'éditeur: Certaines femmes, paraît-il, n'atteignent jamais le plaisir. Lorna, Hélène, Sandra et Joss, quant à elles, savent très bien comment monter au septième ciel : il leur suffit de regarder, toucher, essayer et - comble de jouissance - s'offrir les plus belles chaussures de luxe must have du moment en faisant exploser leur compte en banque. Le problème, c'est qu'elles ne peuvent pas se contrôler. Ces droguées aiment les chaussures de manière compulsive, démesurée, irrationnelle, passionnelle... elles sont addicts. Et pour que leur plaisir ne reste pas solitaire, l'incorrigible acheteuse sur eBay endettée, la femme de sénateur, l'hôtesse de téléphone rose agoraphobe et la jeune baby-sitter harcelée par sa patronne, quatre pointures identiques, décident de former le club des " Shoe Addicts ". Chaque semaine, elles se retrouvent pour échanger escarpins, mocassins, sandales et autres petites paires aussi divines qu'irrésistibles... Mais bien plus que leur addiction commune, les quatre amies vont rapidement partager de nouveaux secrets. Des fardeaux jusque-là inavouables et devenus trop lourds à porter...

    Ce livre est un joli clin d’œil à Sex and the city et son héroïne Carrie, accro aux Manolo ! Il y a aussi un peu de Desperate housewives mais après tout, ces séries n’ont rien inventés, ces destins de femmes existent bel et bien, il suffit de savoir regarder autour de soi !


    Nul besoin cependant de partager cette passion pour les escarpins. Certes, les marques défilent et l’on peut se plaire à imaginer la courbe d’une chaussure mais ce qui reste essentiel, ce sont les liens que vont tisser ces femmes lors de leurs  réunions, organisées par Lorna.

    On connait toutes le principe d’un roman de Chick lit’ ou de comédie romantique, si vous préférez ;), les héroïnes sont généralement un paumées dans leur vie, aussi bien sur le plan professionnel que  personnel : coincées dans un boulot qu’elles n’aiment pas ou en recherche d’emploi, se remettant d’une rupture douloureuse  ou sont amoureuses de leur patron ou du premier homme beau et inaccessible… Le schéma est classique mais  on passe un très bon moment à suivre les aventures de ces filles,  tout en connaissant presque la fin, savourant les péripéties nombreuses des héroïnes. Peut -être parce qu’elles nous ressemblent forcément à un moment ou à un autre …

    Shoe addicts, s’il ne révolutionne pas le genre, est cependant assez original. L’amour n’est pas laissé de côté mais ne participe pas forcément à l’intrigue principale, ces femmes se doivent d’abord se retrouver pour envisager la suite de leur vie. Elles n’auraient jamais du se rencontrer : elles viennent de milieux différents, mènent des vies bien distinctes, habitent dans différents quartiers…,
    Et pourtant, malgré tout, Lorna, Hélène, Sandra et  vont devenir amies et serrer les coudes dans les moments difficiles.

    C’est frais, pas aussi léger qu’on pourrait le penser en voyant la couverture rose bonbon, souvent drôle et agréable. Le style est simple et clair. Les personnages principaux  sont attachants, elles ne sont pas parfaites et alors ? Que celle qui n’a jamais craqué pour une paire de chaussures ou un autre accéssoire, resté dans un placard leur lance sa première Converse venue !

    Un roman à déguster comme une confiserie en ne boudant surtout pas son plaisir !

    ***

    Enfin, la bonne nouvelle de mon week-end, c'est que le film tant attendu est diffusé ce week-end, dans mon petit cinéma de quartier !

    1-Stumpshame.jpg

     

    Etourdie comme je suis, j'ai failli passer à côté, persuadée qu'il ne passait pas avant la semaine prochaine mais il faut croire que les étoiles veillent sur moi !

    39-Stumpshame.jpg

    Attendez-moi, les filles, j'arrive !

    45-Stumpshame.jpg
  • Le vendredi, c'est séries !

    Le vendredi, ce sera donc " séries " sur The Shop !

    Pourquoi le vendredi ?

    Parce que j’ai remarqué que fixer un jour pour un thème bien précis me poussait à écrire et fidélisait le lecteur, par la même occasion (hé, hé).
     

    Pourquoi les séries ?

    Parce qu’elles font partie de ma vie, depuis toujours. Tombée dans le bain télévisuel, toute petite avec une certaine liberté laissée par des parents qui avaient alors la bonne idée de venir jeter un coup d’œil ou même de suivre quelques épisodes avec moi tout en me faisant confiance. Cela reste de très bons souvenirs de fous rires, souvent partagés, parfois taquinés mais jamais ridiculisés.
    Etant fille unique, je pense qu’inconsciemment, les personnages de l’écran devenaient des amis ou une seconde famille que je prenais plaisir à retrouver dès que cela était possible. Au fil du temps, ce goût pour les feuilletons aussi bien français qu’étrangers est resté, prenant même le pas sur le cinéma, ces derniers temps.

    Il faut dire qu’il y a encore quelques années en arrière, s’avouer fan de séries provoquait des sourires gênés. Nous étions au mieux des personnes bien gentilles quoiqu’un brin limitées intellectuellement, passant des après midis devant notre télé à nous abrutir de bêtises américaines, au pire des solitaires en marge de la société, sans autres amis que ceux de l’ écran.
    La question de savoir si le programme regardé était de qualité ne venait pas à l’esprit et il était facile de généraliser et de réunir dans le même panier, les fans de Beverly Hills 90210 et ceux de Derrick. Cela restait des séries, après tout.
    Heureusement, les mentalités ont évoluées avec l’arrivée de nouveaux scénarios et une diffusion élargie aux horaires réservés jusque là, au fameux film du dimanche soir.

    Je réfute toujours le terme de "fan"dans ce qu’il peut avoir de plus péjoratif. Après tout comme la lecture ou le visionnage d’un bon film, ces moments restent agréables, permettent de s’évader, d’apprendre, de découvrir, de rêver, de s’enthousiasmer …
    Il y en a pour tous les goûts.

    Aujourd’hui, je vais commencer par les doudous. Celles qui font du bien au moral,  que l’on peut regarder de façon décousue ou suivie et qui procure toujours autant de plaisir parce qu’elles nous font rire, nous console  ou nous réconforte. Un épisode et on se sent déjà mieux …

    • Comment ne pas citer Gilmore Girls ? Un petit tour à Stars Hollow et tout va mieux ! Un petit café chez Luke avant de rejoindre Rory à Chilton ou à la fac, à moins que l’on ne préfère aller saluer Sookie et Michel… Un rendez-vous idéal pour les vendredis soirs !
    normal_s4ep02_01.jpg

     

    • Friends, bien sur. Parce que nous sommes tous le septième de la bande. Parce que l’on connaît certains épisodes par cœur et que l’on arrive encore à être surpris par d’autres …La saison 2 est toujours aussi savoureuse, je garderai toujours une certaine nostalgie de la période Rachel et Ross.
    friends_01.jpg
    Baiser rossrachel.jpg

     

    • SATC: toujours à New York et parce que ça fait du bien aussi, d’être un peu superficiel (lle), Carrie et ses amies nous attendent pour papoter des hommes, des femmes, de l’amour. On peut aussi admirer les tenues les plus folles et les escarpins de Miss Bradshaw. Je ne porterais pas la moitié de sa garde robe mais elle m’amuse, elle ose tout !
    SexandtheCity_02.jpg

     

    • Men in trees: un petit détour par Elmo pour retrouver Marin, Jack et les autres. L’Alaska a décidément beaucoup de charme. La vie est simple, on s’y ressource. En espérant que France 2 se décide très vite à la diffuser…
    Elmo.jpg
    7011d1a2b61c86566781a2c21e93abf0.jpg

     

    • Arabesque: Enfin, rien ne vaut une bonne enquête de J.B Fletcher pour oublier ses soucis ! Point de sang et d’analyses de laboratoires, notre auteur résout les crimes grâce à sa réflexion et une étude approfondie des faits et personnes. Cabot Cove est aussi un bien village où il fait bon se ressourcer et même avec les années, retrouver ses habitants procure toujours autant de plaisir !
    18759880_w434_h_q80.jpg

     

    Bien sur, je pourrais citer d’autres séries que j’aime beaucoup comme Lost ou Grey’s Anatomy ou encore Ghost Whisperer mais elles n’ont pas le même effet, je pense que l’on s’installe moins facilement devant quand le moral ne suit pas. La première est un réel puzzle, la seconde comporte cette partie médicale qui émouvoir plus que de raison tout comme la troisième qui peut réveiller nos propres fantômes...

    Le Bonus de la semaine vient de TF1 qui rediffuse Ugly Betty, du lundi au vendredi, à 17h. C’est l’occasion de découvrir l’univers de l’attachante Betty, de pester contre cette garce de Whileminia que l’on adorera cependant détester…

    ugly_betty_13.jpg

    Et vous, chers sériephiles, quels sont vos doudous ? Quel est la série que vous regardez quand tout va mal ? 

    106_13_360x240.jpg
    Au programme, la semaine prochaine, la sortie en dvd de Veronica Mars et les séries policières :).
  • Fragile

    Il y a cette scène, dans le film The Suburban girl (ou une fille à la page si vous préférez-j'en parle ici), intitulée très justement mauvaise passe (il me semble..).


    Découvrez Imogen Heap!

    "Speeding cars" en fond, la caméra zoome sur le paysage enneigé de l’extérieur puis sur le désordre, à l’intérieur. Livres en pagaille, boitiers et livrets de divers s’étalent sur le sol, quelques vêtements et enfin, nous retrouvons Brett (SMG), allongée sur son lit, très concentrée par la lecture d’un roman de Judy Blume. Par la suite, elle réagira, se relèvera mais il y a ce petit moment de vide où l’on ressent son malaise...

    normal_smgfrance_caps_suburbangirl%281335%29.jpg

     

    Plutôt que de le nier, je préfère reconnaître que ça ne va pas très fort, que moi aussi, je me réfugie dans un bon livre, en boule sur mon lit, en attendant des jours meilleurs.
    Je me sens fragile.

    normal_smgfrance_caps_suburbangirl%281344%29.jpg

     

    Fatiguée et très lasse, physiquement, une fois de plus (ce qui ne change guère, vous allez me dire), j’ai beau me débattre, mon moral est plus que vacillant. La moindre petite chose peut le faire pencher du mauvais côté. Et les petits soucis, les souvenirs, le fameux " Et si.. " s’accumulent autour de moi. Certains de mes proches se remettent en question (ou non), réfléchissent, ça cogite sérieux dans mon entourage ! La conclusion la plus terrible : c’est comme ça. Personne ne peut vraiment choisir. A un moment donné, la vie prend de drôles de directions.

    Et puis, il y a ça …

    normal_smgfrance_caps_suburbangirl%281108%29.jpg


    Lutter est si difficile… Alors bien sur, j’essaie de rester positive mais pour une fois, j’ose dire que ça ne va pas.

    Envie de protection et de douceur.
    A moi les lectures doudous, la musique qui berce, les épisodes de séries qui font du bien et occupent l’esprit, peut-être un petit cinéma, une petite marche s’il fait beau, un grand chocolat chaud dans un mug offert par une amie, les pensées qui s’envolent vers de doux rêves …

    C’est drôle de voir cependant certaines livres vous envoyer quelques messages cachés. Dans " les yeux des crocodiles jaunes "de Katherine Pancol, il y a ce personnage, Joséphine qui se définit comme " nouille et nulle ". A 40 ans, la vie va lui donner de nouvelles opportunités, elle va découvrir qu’elle est capable de beaucoup. Avec son amie Shriley, elles parlent souvent de la valse de la vie. Petit à petit, Joséphine aura moins peur … Au début, j’étais agacée par ces passages. Au bout de 600 pages, ils m’apparaissent comme des clins d’oeils.

    En attendant, j'ai besoin de calme...

    NB: Puisqu'écrire est libérateur, j'ai quelques book rewiew prévues pour le week-end. Dorénavant, le vendredi, ce sera "séries" ;), histoire de partager ma passion, que cela soit pour un épisode en particulier ou quelques infos générales, il s'agira d'un nouveau rendez-vous, chers lecteurs !

    EDIT: Je viens de recevoir un bien joli présent ! Un petit cadeau bonus adorable qui redonne le sourire ! Merci ma jolie :D !

  • Humeur du jour

    normal_137.jpg

     On aurait beau dire, garder un bon moral est une chose primordiale. Quand les choses commencent à partir un peu dans tous les sens, autour de soi, pouvoir se recentrer est nécessaire à notre équilibre. Il a certainement été décidé que pour certaines personnes dont je fais partie, le chemin serait un plus difficile, la lutte quasi quotidienne. J'ai beau être optimiste, je suis vite contrariée et perdue.

    Malgré tout, je garde l'espoir d'un moment meilleur où tout ira mieux. "Demain est un autre jour", "Une bonne nuit de sommeil et tu y verra plus clair", je suis prête à croire à tout. Parfois ça marche et d'autres fois, le résultat est plus aléatoire comme ces derniers jours...

    En attendant, la bloggeuse que je suis aussi cherche un peu ses mots, elle a peur qu'ils soient gris alors qu'elle les veut colorés. Il n'y a rien de pire que d'avoir tant de choses à dire et de se retrouver coincée face à son clavier. Ca viendra... L'écrire ici me fait toujours du bien.

    En attendant pour conclure ma note sur les cheveux, je vous propose d'écouter ce morceau que j'ai découvert grâce à Mam'zelle Poupée ( who else ? ) que je trouve parfaitement approprié.

    En voici les paroles, à méditer :):

    I'm not my hair- India Arie

    (Spoken)
    Is that India?  What happened to her hair?

    Da da da da da

    (Verse 1)
    Little girl with the press and curls
    Age 8 I got a jerry curl
    13 and I got a relaxer
    I was the source of so much laughter
    15 when it all broke off
    18 when I went all natural
    February 2002
    I went on and did what I had to do

    Cuz it was time to change my life
    To become the woman that I am inside
    97 dread locs all grown
    I looked in the mirror for the first time and saw that (hey)

    (Chorus)
    I am not my hair
    I am not this skin
    I am not your expectations (no)
    I am not my hair
    I am not this skin
    I am the soul that lives within

    (Spoken)
    What she do to her? 
    I don’t know; it look crazy!  
    I like it. 
    I might do that.
    I wouldn’t go that far.

    (Verse 2)
    Good hair means curls and waves.
    Bad hair means you look like a slave
    At the turn of the century
    Its time for us to redefine who we be
    You can shave it off like a South African beauty
    Got in on “loc” like Bob Marley
    You can rock it straight like Oprah Winfrey
    It’s not what’s on your head, it’s what’s underneath (say hey)

    (Chorus)
    I am not my hair
    I am not this skin
    I am not your expectations (no)
    I am not my hair
    I am not this skin
    I am the soul that lives within

    Does the way I wear my hair make me a better person
    Does the way I wear my hair make me a better friend
    Does the way I wear my hair determine my integrity
    Expressing my creativity

    (Verse 3)
    Breast cancer and chemotherapy
    Took away her crown and glory
    She promised God if she was to survive
    She would enjoy everyday of her life
    On national television her diamond eyes are sparkling
    Baldheaded like a full moon shining
    Singing out to the whole wide world like hey

    (Chorus)
    I am not my hair
    I am not this skin
    I am not your expectations (no)
    I am not my hair
    I am not this skin
    I am the soul that lives within
    (Repeat)

    If I wanna shave it close or I wanna rock locs
    That don’t take a bit away from this soul that I got

    If I wanna wear it braided all down my back
    I don’t see nothing wrong with that

     

    Rendez-vous dans la journée pour une book review ;)...

  • La guerre des cheveux n'aura pas lieu !

    Blonde, brune ou rousse, nous sommes nombreuses à nous prendre la tête pour nos cheveux !
    Peu importe les qualités de ces derniers, nous souhaitons souvent le contraire de ce que nous avons et quand il s’agit de notre couleur et des sentiments qu’elle inspire, le sujet devient encore plus sensible.

    zoom01.jpg

     

    Que d’idées reçues, de prédispositions fausses, inventées au fil des siècles ! La pauvre fille blonde serait décrétée écervelée, la brune a souvent le mauvais rôle, celui de la garce tandis que la rouquine doit se contenter de celui de la sorcière…

    Ce qui est amusant lorsqu’on se penche un peu sur le fameux stéréotype de la blonde, c’est que l’on découvre part exemple l’origine des fameuses blagues sur les blondes (que j’ai toujours détestées même en étant brune, réduire une personnalité à quelques mèches, quel manque de tolérance) : Au Québec, notamment, on utilise l’expression ma blonde pour désigner sa petite amie, quelque soit sa couleur de cheveux. Ces fameuses plaisanteries lourdingues seraient alors destinés à l’ensemble de la gente féminine de la part de gros machos, peu surs d’eux.  Vue sous cet angle, elles vont déjà moins rire ces blagues à deux balles ? (Source Wikipédia)

    Gentlemen_Prefer_Blondes_Movie_Trailer_Screenshot_%2816%29.jpg

    Notre personnalité ne vient elle pas de l’intérieur ?  Je reconnais que je revendique parfois le côté piquant que dégagent certaines brunettes mais en fin de compte, est ce que tout cela ne viendrait pas plutôt de l’image des filles du Sud, au caractère fort ?
    Le succès de grandes actrices comme Marilyn Monroe, ont renforcé le mythe de la fille naïve et pas très douée et déclencher bien des jalousies…

    Les hommes préfèrent les blondes ? Quand on sait que près de 50% de la population est brune ou chatain, on peut en douter, non ?

    Si les colorations n’étaient pas aussi agressives, je me verrais bien essayer d’autres tons. Peut être pas aussi pâle que Lucifer (l’un de mes premiers cheveux blancs qui a effectué un come back fracassant, cette semaine, avec quelques copains), je ne dirais cependant pas non à quelques rayons de soleil dans mes cheveux…

    jen.jpg
    Le blond que j'aime, le blond Jen !

    Histoire d’assortir enfin mon teint trop clair à sa véritable couleur et ne plus ressembler lorsque je maquille un peu plus que d’ordinaire, au mieux, à Blanche Neige, au pire à Morticia Adams. Imaginez le dilemme cornélien qui se présente à moi lorsque L’Oréal sort une gamme de rouges à lèvres  censés s’accorder et être choisi en fonction de la chevelure : dois- je vraiment m’en tenir à mes mèches ou à ma carnation ? Le truc doit être très bien étudié parce que je ne suis jamais contente du résultat des châtains ou brunes, ça ne colle pas.

    Parfois, je me rêve aussi en rousse Miranda, de Sex And The City, tendance dernières saisons.

    13-melimelo.jpg


    Et revient à mon brun que j’aimerais souvent plus chaleureux.

    Toujours est-il qu’il n’y pas de quoi scalper les copines !
    La guerre des cheveux n’aura pas lieu : pour différentes raisons,  nous le valons toutes bien !

    Bonus: Une petite selection de photos de Meryl Streep qui a su, habilement, jouer avec ses cheveux, pour ses rôles. Cliquez sur les vignettes pour les agrandir :):

    still006.jpg still009.jpg  still0183.jpg
    still001.jpg  still010.jpg still064.jpg