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  • Electro, quoi ?

    En début de semaine, les dangers du téléphone portable , notamment sur les enfants de moins de 12 ans étaient mis en avant par David Servan Schreiber, soutenu par une vingtaine de cancérologues. S'il est nécessaire de prendre du recul par aux éventuels conséquences de l'hyper utilisation des téléphones ou encore de notre exposition aux antennes relais, ce genre d'appel sème toujours le doute dans nos esprits, aucune enquête ne semblant être menée de façon totalement indépendante.

    Hier soir, je suis tombée pendant le journal de 20h de TF1 ( présenté pour mon PPDA pour quelques semaines encore, ouf !), sur ce reportage sur des personnes qui souffrent d'une hyper sensibilité aux ondes électro magnétiques, provoquant de tels symptômes que certains sont obligés de s'isoler dans des coins reculés et vivre à l'ancienne, loin de toute technologie succeptible d'émettre des ondes.

    Le reportage est visible Ici. La Suède semble à la mode depuis le succès de la saga de Stieg Larson ;) ! Il existe aussi un très article sur Wikipédia: ici

    Toujours est-il que sans forcément s'affoler et envisager le pire (comme ces personnes dont on ne peut nier la souffrance), j'en viens quand même à me demander quels peuvent les effets sur notre santé de tout de modernisme ? Les ondes du wifi se baladent dans la maison, les antennes relais gèrent nos coups de fils quotidiens, les satellites s'occupent des GPS, c'est assez affolant ! Nous n'avons encore aucun recul scientifique, malheureusement. Et ce ne sont pas les grandes compagnies qui ont intérêt à les réaliser...

    Est- ce que dans quelques années, mes longues heures passées sur le pc auront un quelconque impact sur le vieillissement de ma peau ?

    Parfois, notre monde me fait peur ...

    A part ça, avant même d'ouvrir les yeux, je savais qu'ils étaient de retour: mes vertiges ! Joie et bonne humeur !

  • "Les yeux jaunes des crocodiles" - Katherine Pancol (Livre de Poche)

    pancol.jpgUne couverture colorée, un résumé plus que flou au dos du livre «"Ce roman se passe à Paris. Et pourtant on y croise des crocodiles. Ce roman parle des hommes. Et des femmes. Celles que nous sommes, celles que nous voudrions être, celles que nous ne serons jamais, celles que nous deviendrons peut-être. Ce roman est l'histoire d'un mensonge. Mais aussi une histoire d'amours, d'amitiés, de trahisons, d'argent, de rêves. Ce roman est plein de rires et de larmes. Ce roman, c'est la vie. " et de nombreux avis enthousiasmes auront fini par me faire céder et lire mon premier Pancol. Qui ne sera certainement pas le dernier.

    Il était une fois une famille comme tant d’autres, où Madame Mère, une femme peu avenante, domine son monde. Elle a deux filles, de son premier mariage. Iris, l’aînée, belle et brillante que tout le monde regarde et envie et Joséphine qui se décrit elle-même comme  nulle et nouille . Les années ont passé, Madame Mère s’est remariée à ce pauvre Marcel qu’elle mène à la baguette, Iris, toujours lumineuse, mène une vie paisible et aisée auprès de son mari, avocat de renom alors que Joséphine se débat avec un mari infidèle et au chômage, à Courbevoie. Elle souffre, notre pauvre Jo ! Rien ne va plus, elle met son mari dehors, subit les foudres de sa fille aînée Hortense, ado dans toute sa splendeur et se console avec son VIIème siècle chéri, là où elle se réfugie pour ses recherches.
    Heureusement qu’elle peut compter sur sa plus jeune fille, Zoé, sa fidèle amie et voisine, Shirley.

    Ce livre va nous permettre de suivre son parcours. A 40 ans, Joséphine va s’affirmer enfin et voir évoluer sa vie. Au contraire d’Iris.
    Le début est un peu long, on se demande un peu dans quelle maison  nous sommes tombés  (comme dirait ma grand-mère) et les pages s’enchainent. Très vite, Joséphine devint si attachante que l’on veut à tout prix, la voir surmonter les épreuves. Les relations familiales sont très bien décrites, cette madame mère qui se veut toute puissante, ce pauvre Marcel coincé par l’argent, et surtout, ce lien entre les deux sœurs, à la vie, à la mort, prêtes à tout pour soutenir l’autre. Quitte à mentir …

    J’ai aimé ce roman, je me suis attachée à Joséphine, celle qui parle aux étoiles dans un monde où seules les apparences comptent. Malgré tout, je ne peux que regretter quelques longueurs en ce qui concerne d’autres personnages. Ces 661 pages se lisent très bien mais j’avoue avoir sauté quelques passages (notamment sur ce pauvre Marcel) .On a envie de rire, de sourire, de s’émouvoir, on a le cœur qui bat, la larme au coin des yeux, l’émotion passe et c’est ce qui compte !

    Une petite fille l'attendait dans le hall de l'hôtel. Sa petite fille à elle, son amour. La vie avait continué après, la vie continue toujours. Elle te donne des raisons de pleurer et des raisons de rire. C'est la vie, Joséphine, fais-lui confiance. C'est une personne, la vie, une personne qu'il faut prendre comme partenaire. Entrer dans la valse, dans ses tourbillons, parfois elle te fait boire la tasse et tu crois que tu vas mourir et puis elle t'attrape par les cheveux et te dépose plus loin. Parfois elle t'écrase les pieds, parfois elle te fait valser. Il faut entrer dans la vie comme on entre dans une danse. Ne pas arrêter le mouvement en pleurant sur soi, en accusant les autres, en buvant, en prenant des petites pilules pour amortir le choc. Valser, valser, valser. Franchir les épreuves qu'elle t'envoie pour te rendre plus forte, plus déterminée. (Extrait)


    L’ensemble est très bien mené, on pénètre dans l’intimité de chacun, comprenant alors les points de vue et attitudes. Le tout est très humain, au final. Comme toujours, tout est plus trouble qu’il n’y paraît dans les vies de chacun et j’ai vraiment adoré ces différents angles. Il n’y plus forcément de bons et de méchants, au final…

    C’est une saga que j’ai pris plaisir à lire, parce qu’elle parle de femmes, parce qu’elle nous parle.
    Last but not least, la suite " La valse lente des tortues " vient de sortir en librairie…

  • Pleine de contradictions (...enfin, je suis une fille, c'est logique ) !

    Commençons par l’anecdote du week-end, qui m’a valu de me rendre au cinéma pour (enfin !), voir le film  Sex and the city, dimanche après midi : je suis tellement étourdie que je me suis pointée avec une semaine d’avance ! Mon ciné de quartier diffusait Jackpot à la place. Je serais peut être restée s’il y avait eu d’autres spectateurs que ces deux mémés, l’une m’ayant gratifiée d’un " Bonjour monsieur "(qui fait toujours plaisir...) ,  j’ai préféré m’en aller sur la pointe  des pieds quand j’ai constaté mon erreur… J’ai tout de même adoré sa copine qui l’a reprise en lui spécifiant que j’étais bien une jeune femme, quel duo !

    L’autre fait important est l’arrivée de mon nouveau téléphone portable. Pouvant changer de modèle grâce à mes points de fidélité, j’ai opté pour un Samsung violet Lolita Lempicka  qui est adorable, très plat, avec un clavier coulissant et des touches tactiles. On passera sur le fait que le mode d’emploi est très mince et que sans ma filleule de 14 ans, je serais encore bien coincée pour taper mes sms. Ahem. Me ferais- je vieille ? Toutes ces nouvelles technologies, je vous jure, ce n’est plus de mon âge… (Photos sous peu, promis lili).

    Mais revenons-en au sujet du jour qui n’est pas l’avancée des travaux dans la salle de bains qui m’a été envoyé par une autre trentenaire lyonnaise, Trinitty (je balance, je suis comme ça :p) qui me demande donc de citer 5 paradoxes ou contradictions sur ma petite personne. Ce qui est un pléonasme (si mes souvenirs de cours de français sont bons), dans la mesure où je suis un paradoxe sur pattes, comme beaucoup de filles, je pense.

    1. On me dit sensible (très voire trop), fleur bleue (yep) et romantique (aussi). Pourtant, rien ne me détend plus en ce moment que de me plonger dans un livre d’Ann Rule ou une série policière comme Esprits Criminels (Criminal Minds en Vo- qui peut s'avérer assez dure) …

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    Dans la série, il y Thomas Gibson. Il est tout sérieux mais ceux qui ont suivi "Dharma et Greg", savent ,comme moi, qu'il est craquant quand il sourit.


    2. Je râle après notre société de consommation qui nous pousse toujours à acheter, qui défend de drôles de valeurs dans lesquelles je ne me reconnais pas, qui prône une certaine suprématie des marques. Et…Je suis bien contente quand je peux m’acheter un dvd qui vient de sortir par ex et ne crache pas sur le fait de pouvoir changer de téléphone portable alors que le mien n’avait que deux ans (on se rappelle que c’était gratuit avec mes points, qui aurait refusé ? ). Ahem.

    3. J’aime le contact avec les autres. Parler, échanger. Même timide, j’aime parler avec des inconnus dans  les magasins, conseiller un livre à une personne un peu perdue devant les étagères de la Fnac, papoter avec une dame sur la qualité des légumes que nous choisissons… Pourtant, j’ai besoin de  moments de solitude. Encore un truc d’enfant unique, je pense. Même au milieu d’un week-end familial, il me faut une pause.

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    4. En apparence, je suis calme et posée. A l’intérieur, je bouts, trépigne, suit capable de m’emporter très fort, une fois, la porte de mon chez moi, franchie…

    5. Je rêve de décrocher les étoiles, de découvrir et de faire tant de choses. Or je suis une angoissée par nature. Alors je peux bien rêver d’un voyage à New York, je sais que pour le moment, je suis bloquée sur place.

    Comme toujours, je taggue à mon tour mes fidèles lectrices et même les lecteurs, dans le fond, s'ils le souhaitent ;)...

    Bon début de semaine, à tous !

  • "Shoe addicts" de Beth Harbison ( Fleuve Noir)

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    Présentation de l'éditeur: Certaines femmes, paraît-il, n'atteignent jamais le plaisir. Lorna, Hélène, Sandra et Joss, quant à elles, savent très bien comment monter au septième ciel : il leur suffit de regarder, toucher, essayer et - comble de jouissance - s'offrir les plus belles chaussures de luxe must have du moment en faisant exploser leur compte en banque. Le problème, c'est qu'elles ne peuvent pas se contrôler. Ces droguées aiment les chaussures de manière compulsive, démesurée, irrationnelle, passionnelle... elles sont addicts. Et pour que leur plaisir ne reste pas solitaire, l'incorrigible acheteuse sur eBay endettée, la femme de sénateur, l'hôtesse de téléphone rose agoraphobe et la jeune baby-sitter harcelée par sa patronne, quatre pointures identiques, décident de former le club des " Shoe Addicts ". Chaque semaine, elles se retrouvent pour échanger escarpins, mocassins, sandales et autres petites paires aussi divines qu'irrésistibles... Mais bien plus que leur addiction commune, les quatre amies vont rapidement partager de nouveaux secrets. Des fardeaux jusque-là inavouables et devenus trop lourds à porter...

    Ce livre est un joli clin d’œil à Sex and the city et son héroïne Carrie, accro aux Manolo ! Il y a aussi un peu de Desperate housewives mais après tout, ces séries n’ont rien inventés, ces destins de femmes existent bel et bien, il suffit de savoir regarder autour de soi !


    Nul besoin cependant de partager cette passion pour les escarpins. Certes, les marques défilent et l’on peut se plaire à imaginer la courbe d’une chaussure mais ce qui reste essentiel, ce sont les liens que vont tisser ces femmes lors de leurs  réunions, organisées par Lorna.

    On connait toutes le principe d’un roman de Chick lit’ ou de comédie romantique, si vous préférez ;), les héroïnes sont généralement un paumées dans leur vie, aussi bien sur le plan professionnel que  personnel : coincées dans un boulot qu’elles n’aiment pas ou en recherche d’emploi, se remettant d’une rupture douloureuse  ou sont amoureuses de leur patron ou du premier homme beau et inaccessible… Le schéma est classique mais  on passe un très bon moment à suivre les aventures de ces filles,  tout en connaissant presque la fin, savourant les péripéties nombreuses des héroïnes. Peut -être parce qu’elles nous ressemblent forcément à un moment ou à un autre …

    Shoe addicts, s’il ne révolutionne pas le genre, est cependant assez original. L’amour n’est pas laissé de côté mais ne participe pas forcément à l’intrigue principale, ces femmes se doivent d’abord se retrouver pour envisager la suite de leur vie. Elles n’auraient jamais du se rencontrer : elles viennent de milieux différents, mènent des vies bien distinctes, habitent dans différents quartiers…,
    Et pourtant, malgré tout, Lorna, Hélène, Sandra et  vont devenir amies et serrer les coudes dans les moments difficiles.

    C’est frais, pas aussi léger qu’on pourrait le penser en voyant la couverture rose bonbon, souvent drôle et agréable. Le style est simple et clair. Les personnages principaux  sont attachants, elles ne sont pas parfaites et alors ? Que celle qui n’a jamais craqué pour une paire de chaussures ou un autre accéssoire, resté dans un placard leur lance sa première Converse venue !

    Un roman à déguster comme une confiserie en ne boudant surtout pas son plaisir !

    ***

    Enfin, la bonne nouvelle de mon week-end, c'est que le film tant attendu est diffusé ce week-end, dans mon petit cinéma de quartier !

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    Etourdie comme je suis, j'ai failli passer à côté, persuadée qu'il ne passait pas avant la semaine prochaine mais il faut croire que les étoiles veillent sur moi !

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    Attendez-moi, les filles, j'arrive !

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  • Le vendredi, c'est séries !

    Le vendredi, ce sera donc " séries " sur The Shop !

    Pourquoi le vendredi ?

    Parce que j’ai remarqué que fixer un jour pour un thème bien précis me poussait à écrire et fidélisait le lecteur, par la même occasion (hé, hé).
     

    Pourquoi les séries ?

    Parce qu’elles font partie de ma vie, depuis toujours. Tombée dans le bain télévisuel, toute petite avec une certaine liberté laissée par des parents qui avaient alors la bonne idée de venir jeter un coup d’œil ou même de suivre quelques épisodes avec moi tout en me faisant confiance. Cela reste de très bons souvenirs de fous rires, souvent partagés, parfois taquinés mais jamais ridiculisés.
    Etant fille unique, je pense qu’inconsciemment, les personnages de l’écran devenaient des amis ou une seconde famille que je prenais plaisir à retrouver dès que cela était possible. Au fil du temps, ce goût pour les feuilletons aussi bien français qu’étrangers est resté, prenant même le pas sur le cinéma, ces derniers temps.

    Il faut dire qu’il y a encore quelques années en arrière, s’avouer fan de séries provoquait des sourires gênés. Nous étions au mieux des personnes bien gentilles quoiqu’un brin limitées intellectuellement, passant des après midis devant notre télé à nous abrutir de bêtises américaines, au pire des solitaires en marge de la société, sans autres amis que ceux de l’ écran.
    La question de savoir si le programme regardé était de qualité ne venait pas à l’esprit et il était facile de généraliser et de réunir dans le même panier, les fans de Beverly Hills 90210 et ceux de Derrick. Cela restait des séries, après tout.
    Heureusement, les mentalités ont évoluées avec l’arrivée de nouveaux scénarios et une diffusion élargie aux horaires réservés jusque là, au fameux film du dimanche soir.

    Je réfute toujours le terme de "fan"dans ce qu’il peut avoir de plus péjoratif. Après tout comme la lecture ou le visionnage d’un bon film, ces moments restent agréables, permettent de s’évader, d’apprendre, de découvrir, de rêver, de s’enthousiasmer …
    Il y en a pour tous les goûts.

    Aujourd’hui, je vais commencer par les doudous. Celles qui font du bien au moral,  que l’on peut regarder de façon décousue ou suivie et qui procure toujours autant de plaisir parce qu’elles nous font rire, nous console  ou nous réconforte. Un épisode et on se sent déjà mieux …

    • Comment ne pas citer Gilmore Girls ? Un petit tour à Stars Hollow et tout va mieux ! Un petit café chez Luke avant de rejoindre Rory à Chilton ou à la fac, à moins que l’on ne préfère aller saluer Sookie et Michel… Un rendez-vous idéal pour les vendredis soirs !
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    • Friends, bien sur. Parce que nous sommes tous le septième de la bande. Parce que l’on connaît certains épisodes par cœur et que l’on arrive encore à être surpris par d’autres …La saison 2 est toujours aussi savoureuse, je garderai toujours une certaine nostalgie de la période Rachel et Ross.
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    • SATC: toujours à New York et parce que ça fait du bien aussi, d’être un peu superficiel (lle), Carrie et ses amies nous attendent pour papoter des hommes, des femmes, de l’amour. On peut aussi admirer les tenues les plus folles et les escarpins de Miss Bradshaw. Je ne porterais pas la moitié de sa garde robe mais elle m’amuse, elle ose tout !
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    • Men in trees: un petit détour par Elmo pour retrouver Marin, Jack et les autres. L’Alaska a décidément beaucoup de charme. La vie est simple, on s’y ressource. En espérant que France 2 se décide très vite à la diffuser…
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    • Arabesque: Enfin, rien ne vaut une bonne enquête de J.B Fletcher pour oublier ses soucis ! Point de sang et d’analyses de laboratoires, notre auteur résout les crimes grâce à sa réflexion et une étude approfondie des faits et personnes. Cabot Cove est aussi un bien village où il fait bon se ressourcer et même avec les années, retrouver ses habitants procure toujours autant de plaisir !
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    Bien sur, je pourrais citer d’autres séries que j’aime beaucoup comme Lost ou Grey’s Anatomy ou encore Ghost Whisperer mais elles n’ont pas le même effet, je pense que l’on s’installe moins facilement devant quand le moral ne suit pas. La première est un réel puzzle, la seconde comporte cette partie médicale qui émouvoir plus que de raison tout comme la troisième qui peut réveiller nos propres fantômes...

    Le Bonus de la semaine vient de TF1 qui rediffuse Ugly Betty, du lundi au vendredi, à 17h. C’est l’occasion de découvrir l’univers de l’attachante Betty, de pester contre cette garce de Whileminia que l’on adorera cependant détester…

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    Et vous, chers sériephiles, quels sont vos doudous ? Quel est la série que vous regardez quand tout va mal ? 

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    Au programme, la semaine prochaine, la sortie en dvd de Veronica Mars et les séries policières :).