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Books - Page 35

  • Fièvre noire - Chroniques de MacKayla Lane 1 de Karen Marie Moning

    51S+cV1fUgL._SS500_.jpgQuatrième de couverture : " Ma philosophie tient en quelques mots : si personne n'essaie de me tuer, c'est une bonne journée. Autant vous le dire, ça ne va pas très fort, depuis quelques temps. depuis la chute des murs qui séparaient les hommes des faës. Pour moi, un bn faë est un faë mort. Seulement les faës Seelie sont moins dangeureux que les Unseelie. Ils ne vous abattent pas à vue. Ils préférent nous garder ... pour le sexe.

    Au fait, je m'appelle MacKayla Lane. Mac pour les intimes. Je suis une sidhe-seer

    La bonne nouvelle : nous sommes nombreux.

    La mauvaise : nous sommes le dernier rempart contre le chaos. "

    Voici le premier tome d'une série de 5 livres qui cumule les avis positifs sur de nombreux blogs. Le fantastique n'est pas, à priori, ma tasse de thé mais j'avoue avoir été intriguée par Mac, cette héroine cousine d'Elle Woods, qui voit sa vie basculer après le décès de sa soeur, Alina. 

    Au début d'une roman, elle est une jeune femme un peu naïve qui vit paisiblement avec ses parents en Georgie, dans le Sud des Etats-Unis. Mac aime sa famille, sa soeur est sa meilleure amie, la couleur rose qui tient une place importante dans sa garde-robe, ses vernis à ongles et son Ipod.

    Lorsqu'un coup de fil lui apprend le décès d'Alina, Mac est effondrée et décide de se rendre sur place, à Dublin où son aînée étudiait depuis quelques mois. La police n'est pas coopérative,  Mac ne comprend pas le message laissé par Alina et là voilà sujette à des visions d'étranges de monstre en plein pub irlandais ! .

    "Je suis barmaid. J'aime les vieux standards du rock. Ma soeur a été assasinée il y a un mois. Depuis je suis devenue folle."

    Mac découvre qu'il s'agit d'un faë. Parce qu'elle est une sidhe-seer, elle peut le voir alors qu'il apparaît sous les traits d'un Appolon aux yeux des humains. La jeune femme a aussi la capacité de sentir des objets précieux ainsi qu'un livre magique qui suscite les convoitises. Mac ignorait tout de cette destinée, c'est le mystérieux et charismatique Jericho Barrons qui lui apprend les bases de sa nouvelle existence.

    Que dire à propos de Jericho Barrons ?

    " L'homme m'examina d'un long regard perçant qui me donna la chair de poule. A mon tour, je l'observai. Le dénommé Jericho Barrons n'occupait pas l'espace, il le saturait littéralement. Avant son arrivée, la pièce était remplie de livres. A présent, elle était emplie ... de lui".

    Ce charismatique libraire mène la vie dure à notre héroine, ne lui dévoilant les us et coutumes de ce monde étrange, par bribes. Il l'entraîne dans une chasse au trésor puisque Miss Lane peut ressentir les objets précieux et le fameux Sinsar Dubh tant recherché. Leur échanges ne manquent pas de piquant, chacun reste sur ses positions. Ils se détestent mais on sent déjà une certaine attirance naître entre ses deux là.

    Si les deux cents premières pages relatent le quotidien plutôt rose-bonbon de la jeune femme, l'intrigue prend très vite un tour plus sombre et angoissant. Sa rencontre avec Barrons est un véritable tournant puisqu'il permet à Mac d'en apprendre plus sur ce monde étrange et sa condition qui soulève bien des questions. Karen Marie Moning dresse le plan d'une intrigue riche en surprises qui pourra certainement se développer au fil des quatre autres tomes.

    Le style est soigné, les personnages travaillés ce qui n'est pas toujours le cas dans le genre de roman. Il est bien fifficile de ne pas ressentir d'empathie envers le personnage de Mac.

    Couinons mes soeurs, il reste encore 4 tomes (qui sont assez épais ) pour découvrir ce que le viril Jericho cache ...

    L'avis de Pimpi, conquise. Karine est, elle aussi tombée dans la marmitte.

    Fièvre noire de Karen Marie Moning chez J'ai Lu.

     

  • Top Ten Tuesday {8} : I ❤ Colin

    Cette semaine, le thème officiel proposé par The Broke and The Bookish n'inspire pas la blogosphère et après Fashion, Karine et Yueyin, je reprends le sujet d'étude du jour : Colin Firth.

     

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    Si les filles ont choisi de faire le top de leurs films préférés avec le beau Colin, je préfère, pour ma part, vous donner 10 bonnes raisons de l'aimer. Rien de moins.

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    1. Il est anglais. Son petit accent, son flegme caractériques de sa mère patrie, son élégance naturelle. Avec tea time au coin du feu, en option, je vote pour.

    2. Il a beaucoup de charme. Colin n'est une gravure de mode qui suit la tendance et pratique la gonflette. Colin est beau, naturellement. Avec son sourire qui vous fait fondre, ses cheveux qui donnent envie de l'ébouriffer, ce regard coquin ...

    3. Il a beaucoup d'humour, Mr Firth. Qui d'autre pourrait porter le fameux pull de Mark Darcy sans friser le ridicule ?

    4. Il est brillant. Si nous n'avons jamais douté de son immense talent, il est enfin reconnu par la profession et s'est venu décerné un Golden Globes ainsi qu'un trophée lors de la cérémonie des SAG. En attendant l'Oscar...

    5. Il est amoureux et fidèle. Si Hugh et Jude se révèlent plus instables, Colin est marié depuis plus de dix ans  à Livia Giuggioli. Ils ont deux enfants et semblent très heureux en ménage. Comment être jalouse ? Nous en rêvons de cette vie-là ! 

    6. Il est intelligent et n'hésite pas à s'engager. Il milite activement contre la peine de mort.

    7. Il aime Jane Austen. A la question « Quelles sont les femmes de votre vie ? », il a déclaré : « Ma mère, ma femme et Jane Austen" . God bless you, Colin !


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    8. Il n'est pas figé dans un style de rôle, il n'hésite pas au contraire à varier les styles de films. De Valmont à Love Actually. D'Oscar Wilde dans "l'importance d'être constant" à Abba dans "Mamma Mia". De Bridget Jones au discours d'un roi ...

    9. Il chante. Pour preuve, sa performance dans Mamma Mia

    10. Dans "Love Actually", il interprète un écrivain qui va vivre l'une de mes histoires d'amour de fiction, préférées .

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    Et pour affronter ce froid mois de février, j'ai très envie de regarder quelques films comme Easy Virtue (je ne savais absolument pas qu'il figurait au casting), L'importance d'être constant, Hope Springs, un été italien ...

  • All endings are also beginnings

    Mes "cours du mardi", ce projet au long cours qui prenait tant d'importance depuis une année et demie, a pris fin , il y a quelques jours et je me sens un peu perdue.

    Le résultat est positif, mon chemin prend une autre route mais comme souvent, la fille hypersensible qui sommeille en moi est un peu mélancolique de devoir tourner la page.

    Tout en laissant passer les nuages au dessus de ma tête, je me concentre sur les petites choses qui font du bien, comme ce gros pull gris qui tient bien chaud, la pause thé de 16h (se joint qui veut), les séries Parenthood (je change de show comme de pyjama) et Castle (saison 2 en dvd), quelques bons romans qui vident la tête (une bonne dose de Bit Lit parce que je suis obligée de me concentrer sur ces univers pour m'y retrouver, ce sont des lectures faciles et très prenantes), la recherche de photos pour mon Tumblr, de nouvelles idées de loisirs créatifs comme ce kit de tricot retrouvé au fond d'un placard. Il est évident que je ne pense pas porter ce bonnet-chapeau vert mais le faire, oui. Et puis, je veux reprendre la broderie, trouver un joli modèle de point de croix, apprendre le point de tige et coudre la petite trousse que j'ai en tête. 2011 sera créatif ou ne sera pas

     

     

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    Extrait d'un épisode de Parenthood, saison 1

     

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    Le buffet de ma grand-mère

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    Work in progress

     

    Bon week-end !

     

  • L'âme du mal de Maxime Chattam

    Mes proches n'ont pas encore renoncer à m'offrir des livres, la preuve avec cet étonnant thriller que je n'aurais peut-être pas chois moi-même, à cause de sa noirceur et qui s'est révélé être un très bon moment de lecture ...

    Abandonnés au fond de la forêt ou de hangars vétustes; des cadavres comme on n'en a jamais vu, mutilés de façon rituelle, porteurs de messages cabalistiques semblables à ceux que laissait derrière lui le Bourreau de Portland, avant qu'une balle dans la tête ne vienne à bout de sa carrière... Le tueur serait-il revenu d'outre-tombe ? S'agit-il d'une secte particulière qui prélève toujours les mêmes morceaux du corps de ses victimes pour d'étranges cérémonies ? Des bibliothèques ésotériques aux égouts de la ville, l'inspecteur Brolin et une jeune étudiante en psychologie plongent dans une enquête infernale, tandis que la police scientifique et la médecine légale se perdent en conjectures.

    413Hdk6FceL._SL500_AA300_.jpgL'âme du mal est le premier roman d'une trilogie ( suivent In tenebris et Maléfices) qui a valu à son auteur le prix Sang d'Encre et la reconnaissance du public. Si ses qualités sont nombreuses, je pense qu'il est bon de souligner quelques maladresses comme la quasi-utilisation des descriptions des techniques scientifiques qui freinent et alourdissent le récit. Maxime Chattam a effectué de nombreuses recherches et suivi des cours en criminologie ce qui enrichit forcément l'intrigue mais celles-ci sont peut-être un peu trop présentes dans ce tome (le second In tenebris rectifie le tir et présente un meilleur équilibre entre l'enquête à proprement parlé et les méthodes qui viennent l'appuyer).

    L'influence amércaine  est évidente, le style est vif et moderne. L'auteur met en avant un profileur aux méthodes peu connues et parfois mises en doute qui arrive, petit à petit à plonger dans le monde du tueur. L'atmosphère est très sombre, angoissante, à l'image du serial-killer qui est décrit dans ces pages : âmes sensibles s'abstenir !

    Le héros, Joshua Brolin est un personnage attachant. Formé au FBI, il décide néanmoins de faire ses preuves et de se confronter au terrain, à Portland. Se basant sur les méthodes de profilage apprises, il dresse au fur et à mesure le portrait du suspect, entrant progressivement dans sa tête pour mieux le comprendre. On le sent réellement investi dans sa profession et sensible au sort des victimes. 

    Pourtant, au délà de l'horreur des crimes, le lecteur se retrouve happé par l'intrigue et la recherche de ce mystérieux criminel. Les chapitres s'enchaînent sans temps mort, les rebondissements sont nombreux, on tremble, on a peur, on espère ... L'ensemble ne manque pas de rythme. On en ressort hébété et effrayé de savoir que la réalité peut rejoindre la fiction. 

    L'épilogue permet d'amorcer le second roman qui présente une autre enquête, dans une autre grande -ville, New York.

    L'âme du mal de Maxime Chattam, chez Pocket.

  • Top Ten Tuesday {7}

    Décidément, j'aime de plus en plus ce rendez-vous du mardi. Et vous ?

     

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    Je reprends, de nouveau, le thème officiel proposé par The Broke and the bookish, à savoir Top Ten Books I Wished I Read as a Kid que je vais élargir aux livres que j'aurais aimé lire plus jeune puisque j'ai été une lectrice adolescente incomprise et insatisfaite (le traumatisme est grand, je suis heureuse de pouvoir en parler ...). A mon époque préhistorique où l'inter net n'existait pas, la littérature Jeunesse n'était malheureusement pas aussi développée et surtout accessible. Je ne savais pas vers quels titres me diriger et héritais souvent des romans de mes tantes, mère et grand-mère. Pour vous donner un exemple, Janine Boissard a été mon auteur chouchou de mon adolescence, je dévorais ses histoires de Belle grand-mère et L'esprit de famille, bien entendu.

    Et il ne fallait pas vraiment compter sur les conseils de lecture de mes professeurs notamment cette Mme Renard (ceci est un nom d'emprunt) qui , m'expliquant ce qu'était le fond d'une bibliothèque,  a cru s'évanouir lorsque je lui ai révélé le mien. Elle pensait naïvement qu' à 15ans, je lisais Maupassant pour mon plaisir. La fayotte de la classe avait fait forte impression avec la collection complète des romans de Mary Higgins Clark (?!). J'aurais pu citer Agatha Christie mais chers lecteurs, je fus frappée d'un moment d'absence et oublia la reine du crime. Si je devais revivre ce passage de ma vie comme Erica, je serais quoi répondre :). Parce que sa fichue liste de conseils de lectures d'été, j'étais une des seules personnes à l'avoir lue, en entier. *

    Bref.

    J'aurais adoré lire, plus jeune :

    • La suite des Quatre fille du Dr March. J'ai dévoré le roman régulièrement, pendant des années sans savoir que Louisa May Alcoot avait écrit trois autres livres . Le choc de découvrir le futur époux de Jo par une adaptation tv fût un grand choc. Pas moins.
    • Matilda de Road Dahl. Je suis sure qu'à 8ans, elle aurait été ma meilleure amie.
    • La saga des Anne de Lucy Maud Montgomery
    • Si j'ai lu et relu les romans de cette chère Agatha, j'ai été moins fidèle avec Sherlock.
    • La série Enola Holmes qui est excellente !
    • Tous ces petits poches, qui paraissent régulièrement et que je croise dans les rayons de mon supermarché comme les histoires de ballerines ou chevaux. Ex : Heartland de Lauren Brooke
    • Les grandes sagas comme le monde de Narnia ou A la croisée des mondes.

    La bonne nouvelle, c'est qu'il n'y a, heureusement, pas de limite d'âge et que si l'envie me prends, je peux tout lire !

     

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    *Dans ton dentier, mémé !