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The Shop Around The Corner - Page 236

  • Meryl, Anne et moi.

    Il y a un mois, tout les blogs de filles parlaient de la sortie du film « Le diable s’habille en Prada » mais comme, décidément, je ne fais pas les choses comme tout le monde, je vais vous parler maintenant !
    Et c’est là que vous appréciez mon côté « décalé » …
    Je suis enfin allée le voir, avec ma mère, dimanche après midi.

    Comme vous le savez (à moins que vous habitiez sur Mars), le film est l’adaptation du premier roman de Lauren Weisberger (cette jeune femme a presque mon âge, est blonde et mène la vie dont je rêve, c’est limite agaçant…) qui s’est largement inspirée de sa propre expérience pour nous conter la vie d’Andrea , jeune femme fraichement débarquée dans le milieu de la mode et qui va une année durant, devoir affronter le diable en personne ,  à savoir Miranda Priestly, directrice de « Runaway » qui n’est pas sans rappeler un certain « Vogue «  où Lauren a travaillé …

    Evidemment, le roman comme le film, permettent d’accéder aux coulisses de ce milieu qui fait rêver : du café aux talons hauts en passant par le déjeuner « light » (ou son absence !) des mannequins ou de femmes désirant simplement leur ressembler et porter les fameux vêtements en taille 36, s’il vous plait. Autant dire, un milieu régi par les apparences, où seul compte le modèle « porte manteau », femmes normales aimant le chocolat s’abstenir !
    La critique de ce milieu peut paraître moins marquée que dans le livre mais si on sait regarder, on se rend vite compte de ce qui est normal ou pas.

    Mise à part le relooking façon « Pretty woman » (le dressing de « Runaway » a de quoi faire baver n’importe quelle fille), je crois que je peux le dire haut et fort, je ne pourrais pas travailler dans ce milieu tant les regards de jeunes asperges superficielles me donnerait la nausée.
    J’aime la mode, lire « Elle » chaque semaine mais cela s’arrête là.

    L’adaptation est fidèle au livre, on retrouve l’intrigue principale et les grandes lignes qui permettent de faire de ce film, une bonne comédie. Des détails manquent ou sont à peine abordés (comme la bouteille de San Pelligrino et les magazines de Miranda, un rituel chaque matin sur son bureau) et je ne peux que conseiller de lire le roman si ce n’est déjà fait mais l’essentiel est là : Miranda est insupportable et c’est la jeune Andrea qui doit subir les caprices de cette papesse auto proclamée.

    Le plus de ce film, c’est la prestation parfaite de Meryl Streep.  Déguisée en Cruella chic et fashion (sa coupe de cheveux argentée est une réussite), la sobriété de son jeu nous laisse entrevoir ce qu’ »il faut « de froideur, sa force mais aussi sa faiblesse car aussi glaciale puisse-t-elle être, Meryl Streep reste cette grande actrice attachante, la seule que nous sommes capable d’adorer détester !

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    Anne Hathaway qui interprète la jeune Andrea, ne démérite pas (bien au contraire) et gagne notre sympathie dès les premières minutes parce qu’au fond, on a tou(te)s un vieux pull bleu dans notre armoire !
    Son sourire franc à la Julia Roberts, sa fraicheur qui n’est pas sans rappeler celle d’Audrey Hepburn nous guide tout au long du film. De ses godillots aux escarpins fournis par Nigel, de New York à la semaine de la mode à Paris. Et elle a une frange, cette fille est une déesse !

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    Le seul bémol : il me semble que l’écrivain du roman était séduisant ce qui n’est pas vraiment le cas de celui du film, mes excuses à l’acteur qui a sans doute essayé de faire passer le meilleur de lui-même dans ce rôle …

    En conclusion, ce film de filles mais pas seulement, est réussi : on passe un très bon moment devant ce défilé constant de chaussures et autres robes de créateurs où Paris  est encore un brin cliché (n’en demandons tout de même pas trop) mais où tout est bien qui fini bien.

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    Mon coup de coeur "mode" va à ce petit manteau blanc que l'on aperçoit que trop eu à mon avis...

  • I'm a Gilmore Girl

    Certains diront que le décor d’un blog n’a pas forcément d’importance mais je reconnais qu’avoir quelque chose qui me ressemble vraiment, me fait sentir encore plus à l’aise et me donne envie d’écrire encore et encore !

    Je voudrais remercier mes parents sans qui je ne serais pas là Titania pour ses gentils conseils et la chance qui a été de mon côté pour une fois. Je n’ai pas eu à devenir hystérique une fois de plus, à hurler en m’arrachant les cheveux tout en balançant mon clavier  sur mon écran, ce qui est tout de même fort agréable.

    La demoiselle qui vous accueille est Alexis Bledel, connue pour son rôle de Rory dans la série Gilmore Girls dont j’avais parlé précédemment. J’ai eu un réel coup de cœur pour cette série lors de sa première diffusion (massacrée en France mais vous pouvez trouver les coffrets dvd sur le net),  grâce au personnage de Rory. Cette délicieuse brunette , un peu timide, qui aime lire et passer de longues soirées vidéos  avec sa mère,  n’est pas sans me rappeler l’ado brunette que j’ai été, celle que je reste au fond, malgré tout.

    J’ai été touchée par la proposition de Kheyliana mais ce n’est donc pas moi mais je partage avec Alexis, une coiffure un brin similaire (toute personne ayant une frange m’est automatiquement sympathique) autant dans la couleur que dans la coupe (mais pas dans le volume, tchô monde cruel) et une passion pour les gros pulls d’hivers dans lesquels j’aime me blottir.

    Figurez vous que je viens de recevoir un mail de pub de mon ami Phildar et je pense avoir trouvé l’écharpe parfaite à tricoter pour cet hiver : à rayures blanches et noires, bien longue, au point mousse, je sens qu’elle m’appelle déjà…

    En ce moment, il y a beaucoup de choses qui m’appellent , comme des livres, une montagne en fait ( dont « Persuasion » de Jane Austen à côté de mon lit), le nouveau parfum Nina Ricci qui veut absolument que je le sente (allez donc savoir pourquoi ) , un peu de musique, mon abécédaire qui ne demande qu’à être terminer, la poussière des mes étagères et le désordre de ma chambre ( quand l’appel est un peu trop fort, je monte le son de la chaine hi fi …), ce gâteau au chocolat sans cuisson que je n’ai toujours testé, mon portable qui me chuchote qu’il y a des amis qui attendent des nouvelles, ce mot de ma mère ce matin « souviens toi que c’est l’anniversaire de ton parrain «  à qui j’ai répondu que je m’en souvenais plus que bien  (oui, je parle aux post-It, je vous raconterais très prochainement la  dernière conversation avec mon sac à main ) …ce n’est pas parce que j’ai cru que c’était le 19 que je ne sais pas que c’est le 25, tsss…d’où ce petit message personnel :  Coucou Parrain, très bon anniversaire ! 60 ans, c’est trois fois 20 ans ! Wouhou  !

  • YaHOooooo !

    Encore quelques modifications mais ma bannière est là !

    Je continue :p !

  • Do you speak english ?

    Yes, I do !
    Enfin, c’est que je supposais.

    Car il ma fallu me rendre à l’évidence, mes années d’apprentissage « scolaire » sont loin et avec le temps, le manque de pratique et le vocabulaire qui s’envole, n’aident pas.

    C’est une chose à laquelle on ne fait pas attention et puis , un jour , on se trouve face à une situation toute bête et on se dit que l’on ne sait pas comment expliquer à ces deux jeunes anglaises que les concombres ne doivent pas être pesés mais qu’ils sont vendus à la pièce et cela vous retourne de vous retrouver aussi bête ( ça sent le vécu, je sais …).

    Ce que j’ai vraiment du mal à accepter car la légende veut que j’ai aimé l’anglais en cours, que j’ai même été brillante à ma façon (un peu trop timide ce qui n’aide pas pour l’oral), que je sois la première à chanter sur des morceaux de James Blunt ou Madonna (mes goûts sont variés)….

    J’aime profondément cette langue. Sa sonorité, ses mots, ses phrases courtes qui semblent tout dire, ses accents des divers coins du monde qui la rende parfois incompréhensible, mon propre accent de « frenchie » …
    Tout n’est heureusement pas perdu mais il est temps que je me reprenne, que je reste en contact avec ce monde anglophone (et anglophile !)  dont la plupart de mes amis font partie. Bien sur, il y a le net qui aide, je me « force » à surfer du côté de la langue de Shakespeare (pour la lecture, je n’ai jamais eu de problème ) mais j’essaie aussi de me mettre à la vo car je pense qu’il n’y a rien de plus ludique comme exercice : regarder son film préféré en anglais, voilà une chose qui n’existait peu à l’époque où j’ai appris.

    Je me fais l’effet d’être un dinosaure (« dinosurus pré-dividus » pour être exacte) mais la facilité de choisir qu’apporte les dvd, je ne l’avais pas à 15 ans, les films en versions originales passaient dans des petites salles et comble de l’horreur, ils étaient sous titrés en français !
    Pour comprendre le film, c’est peut être mieux mais si je dois jongler entre la voix des acteurs sur l’écran et les lignes qui défilent dans une langue différente, j’avoue que j’ai de la fumée qui me sort par les oreilles. Pour un film russe, je ne dis pas (en même temps, la filmographie russe m’est totalement inconnue …) mais pour un film en anglais, je fais l’effort de me mettre dans l’ambiance.

    Me voici donc depuis quelques temps, devant mon écran de pc à suivre notamment des séries en vo.
    Ce n’est pas encore aussi agréable (et fluide) !)  qu’en vf, je le reconnais mais ça vient, j’aime assez en fait. Je me laisse bercer par l’accent américain ( pour l’accent "so british", je l’entretiens avec le thé…) , me surprend à penser parfois dans la langue et reprend contact petit à petit avec une chose que j’ai aimé et que j’aime toujours.

    Je me fais plaisir et cela devrait toujours être le cas.
     It’s a delicious feeling !

     

  • En travaux ;)

    Pas d'affolement si le blog prend de drôles de couleurs , je suis en train d'essayer d'insérer une nouvelle bannière avec une autre mise en page.

    Je pleure actuellement toutes les larmes de mon corps car mon premier essai n'a pas marché (et puis ma grand-mère m'a fait "bouh" alors que j'étais super concentrée, mon coeur ne s'en est pas remis !) ...

    J'essaie donc diverses choses car il est bien connu qu'une Shopgirl ne se laisse pas abattre.

    Heeeeeeeeeeeeellllllllllppppppppppppppppppppp !!!!!!!!!!!!

    Edit du 19 octobre

    Le Titanic , à côté, c'était rien ! L'iceberg ? A peine, un glaçon dans votre verre de coca !

    J'ai perdu ma version originale dans les templates, je n'arrve toujours pas à insérer une adresse qui soit correcte, je suis désespérée, légèrement au bord de la dépression :(((((

    Mais je ne vais pas lâcher l'affaire !

    Edit du 19 octobre , au soir :

    Il est clair que ce blog m'en veut, pour une raison que j'ignore...

    Je vais donc le laisser se reposer côté design* et reprendre mes notes dès demain .

     

    * C'est ce qu'il doit croire parce qu'en fait, je cherche toujours, mouhahaha !